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Destins interdits

Julian a seize ans. Jeune délinquant et ancien toxicomane, il habite un vieux mobil-home vétuste avec sa mère et sa petite soeur. Très vite déscolarisé, il gagne cependant beaucoup d'argent en faisant des combats de boxe, la nuit dans les sous-sols des immeubles des cités. Julian n'a qu'une passion : le muy thai, ou boxe thaïlandaise, où il excelle, mais il n'a pas de rêves, pas de projets, pas d'avenir.  Kentin a seize ans. Adolescent brillant, dont la beauté n'a d'égale que l'intelligence, il est le fils unique d'Alexandre Dumont de Givry, dix-neuvième comte de Givry, et habite le château de ses illustres ancêtres. Kentin a un rêve secret : devenir créateur de parfums, ce qui n'est pas du goût de son père. Julian et Kentin vivent à quelques centaines de mètres l'un de l'autre, mais ils ignorent totalement leurs existences.  Une relation ambigüe qui commence par un viol, et un pardon qui mènera le jeune Julian aux portes de l'enfer. Deux existences qui n'auraient jamais dû se croiser ; deux mondes qui n'auraient jamais dû se rencontrer ; une passion qui n'aurait jamais dû voir le jour ; deux destins qui n'auraient jamais dû s'unir : deux destins interdits.

15,00

Plus de romans

La Fontaine aux malades

15,00

C’est un roman historique tout à fait immersif au cœur d’un siècle troublé par la maladie et en proie aux bouleversements des religions. Sur les traces de l’Histoire, nous découvrons des personnages bien typés, justes et droits qui promènent un regard singulier sur le monde en quarantaine qui les entoure. La forme du journal du notaire permet une grande précision tout autant qu’une plongée bienvenue pour comprendre les mœurs, les pensées et les traditions de l’époque. Richement documenté, le récit emprunte au genre du document historique et ravira les passionnés et les curieux pour un moment de lecture où Histoire et histoires ne font plus qu’un, où imaginaire et réalité se rejoignent. Comment se comporterai une communauté qui de nos jours, serait acculée, face à un fléau semblable, à une si longue gestion en vase clos ?

En juillet 1631 dans un petit village des Alpes sous la tutelle des princes d’Orange, une épidémie de peste se déclare. Une quarantaine est mise en place. Le notaire du lieu décide de rédiger un mémoire des événements pour cette période d’isolement qui va durer six mois. Avec une majorité protestante, une certaine rigueur permet d’affronter au mieux une série de problèmes qui vont s’additionner : le ravitaillement, la perte du moulin, le décès de responsables, l’arrivée tardive de médicaments, l’accumulation des dettes, les défections, le chauffage, la distribution d’eau. Par souci d’une chronique éclectique, le notaire fait la part belle aux faits divers et aux préparations culinaires et médicinales locales…. Fin janvier 1632, à la levée de la quarantaine, il ne reste que 460 des 600 habitants. Que vont-ils devenirs face à la misère de beaucoup ?

Leur sens profond de la vie en communauté va faciliter la lente reprise du cours normal de la vie. Cependant, des années durant, il va falloir honorer les dettes contractées pendant cette période. »

Bel amant

15,00

Au décès du comte de Grare, ses enfants Louis-Marie et Blanche se retrouvent héritiers du château ancestral du Pré mais également d’un monceau de dettes.

À Paris, la puissante famille de Brunswick donne le ton. Anne de Brunswick, surnommée la baronne, dirige les deux banques héritées de feu son époux d’une main de fer tandis que Stanislas, son fils, se prend d’amitié pour un certain Monsieur Gustave Eiffel à la recherche d’un financement pour sa tour, attraction phare de la prochaine exposition universelle de 1889.

La riche baronne est aussi mécène et c’est lors de l’une de ses soirées à son hôtel particulier parisien qu’elle invite un peintre alors dans la misère : Auguste Renoir. Elle lui propose un contrat : peindre un nu masculin dont le modèle aura la beauté d’Antinoüs, l’innocence de Ganymède et la perfection de Narcisse.

Auguste Renoir rentre à son atelier de Montmartre avec le sentiment d’avoir été lésé : ce modèle n’existe pas. C’est alors que son chemin croise celui de Louis-Marie. La parfaite beauté du jeune homme trouble le peintre qui lui propose de poser nu pour lui. Il ignore tout de lui mais l’invite chez lui. Entre les deux hommes va naître une grande amitié et une inoubliable complicité.

À l’ombre de la Dame de Fer qui s’élève jour après jour dans le ciel de Paris, des destins vont se croiser, des secrets vont se dévoiler et certains apparaîtront alors sous leur véritable jour.

Le portrait d’Isabeau

10,00

Le portrait d’Isabeau est la suite de “Sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle”. Nous conseillons de lire d’abord “L’étrange destin de Jehan, jongleur à Notre Dame”. Paul et Isabeau vivaient depuis cinq ans au château de Roquebrune une vie paisible. Trop paisible au gré de Paul…

Le défi de Victor

10,00

Victor a 10 ans. C’est un enfant fragile, sensible, mal dans sa peau, qui subit le harcèlement scolaire depuis son entrée à l’école. Sa souffrance morale est telle que son corps crie à l’aide chaque matin lorsqu’il doit se lever : maux de ventre, nausées, tremblements, angoisses, idées noires…. Comment expliquer à sa mère l’incompréhensible ? Comment dire l’indicible ? Comment continuer à avancer et se construire ?L’arrivée de Bao, une nouvelle élève venue tout droit de Chine, va bouleverser sa vie. Parviendra-t-elle à lui redonner confiance, à l’aider à faire face aux harceleurs ?

Nos meilleures ventes

La Fontaine aux malades

15,00

C’est un roman historique tout à fait immersif au cœur d’un siècle troublé par la maladie et en proie aux bouleversements des religions. Sur les traces de l’Histoire, nous découvrons des personnages bien typés, justes et droits qui promènent un regard singulier sur le monde en quarantaine qui les entoure. La forme du journal du notaire permet une grande précision tout autant qu’une plongée bienvenue pour comprendre les mœurs, les pensées et les traditions de l’époque. Richement documenté, le récit emprunte au genre du document historique et ravira les passionnés et les curieux pour un moment de lecture où Histoire et histoires ne font plus qu’un, où imaginaire et réalité se rejoignent. Comment se comporterai une communauté qui de nos jours, serait acculée, face à un fléau semblable, à une si longue gestion en vase clos ?

En juillet 1631 dans un petit village des Alpes sous la tutelle des princes d’Orange, une épidémie de peste se déclare. Une quarantaine est mise en place. Le notaire du lieu décide de rédiger un mémoire des événements pour cette période d’isolement qui va durer six mois. Avec une majorité protestante, une certaine rigueur permet d’affronter au mieux une série de problèmes qui vont s’additionner : le ravitaillement, la perte du moulin, le décès de responsables, l’arrivée tardive de médicaments, l’accumulation des dettes, les défections, le chauffage, la distribution d’eau. Par souci d’une chronique éclectique, le notaire fait la part belle aux faits divers et aux préparations culinaires et médicinales locales…. Fin janvier 1632, à la levée de la quarantaine, il ne reste que 460 des 600 habitants. Que vont-ils devenirs face à la misère de beaucoup ?

Leur sens profond de la vie en communauté va faciliter la lente reprise du cours normal de la vie. Cependant, des années durant, il va falloir honorer les dettes contractées pendant cette période. »

Je suis vivante et rayonnante : Ma petite maman

25,00

L’envol de ma fille Nathalie en 2012 a complètement modifié mes convictions sur la vie qui continue sous une autre forme, après la mort physique.«La vie est un opéra enchanteur pour qui s’ouvre à le voir et l’entendre », édité en 2015 et réédité par la suite, est un recueil de textes et de tableaux de Nath.A suivi, toujours à la demande de Nathalie, « De la Douleur à l’éveil de la spiritualité un cheminement difficile » paru en 2017 : témoignage complété par des conférences auprès de parents qui ont vu leur enfant « partir » avant eux.Or, sollicitée une nouvelle fois par Nathalie, je ressens aujourd’hui le désir de revenir vers vous avec ce nouvel ouvrage qui est une correspondance subtile entre Nath et moi, dans laquelle elle me décrit cet Au-delà que nous avons du mal à appréhender, si loin, si près.« Il faut dépasser ton témoignage de maman. Fais passer ce Message : La mort ne change pas les personnes, elle les sublime dans leur gloire rayonnante. Si tu savais à quel point cette continuité est belle, alors, tu sortirais dans la rue pour le crier aux passants ! » Paroles de Nathalie transmises par Matthieu Gordien« Ce livre ne concerne aucun dogme. C’est un voyage, c’est une découverte qui se révèlera guidée, et c’est en cela que le livre est une source pour vous, d‘enseignement, c’est une source dans la subtilité pour chacun et de ce que chacun peut en saisir. Ce livre est un portail s’ouvrant sur une découverte des mondes et des nouvelles expériences. »Paroles de Nathalie transmises par Nadine Bedasne Me voici donc relancée pour une nouvelle aventure avec vous !

Grosse équipe

15,00

À la fin des années 90, le sud de la France est le théâtre de plus de 70 vols par effraction de coffres forts, de supermarchés, de magasins divers, la plupart réalisés au tractopelle et d’environ 400 vols dans et de véhicules.

Les investigations ont été menées par une cellule d’enquête de la Gendarmerie Nationale, basée à Narbonne, que nous appellerons ici KOFIO 11.

Ce polar est tiré d’une histoire vraie. Les noms des personnages ont tous été modifiés, d’autres ont été inventés et les faits quelques peu romancés, bien que !!! … Fidèle au monde des faits divers, ce roman traite du quotidien des petites mains, propres ou sales, trop souvent oubliées.

A travers ce livre, l’auteur a souhaité que le public découvre le travail extraordinaire fait par des gens que la très haute hiérarchie policière croit ordinaires.

Une sorte de pied de nez aux idées reçues. Souvent le héros est cherché où il n’est pas ! … Dans ce métier, on ne peut être un bon flic et un héros.

Ici, tous ont choisi de n’être que flic !

Braises ardentes

15,00

Livre érotique réservé à un public adulte averti. 

Auteur de plusieurs recueils consacrés à ses impressions de jeunesse, du monde méditerranéen, des voyages et aussi de poèmes pour l’enfance, le poète chante ici les beautés érotiques des amours libres.

Des vers tantôt chargés de tendresse, de délicatesse, tantôt portés par une sensualité extrême, toujours empreints de la passion d’être. Une poésie du temps présent que le futur ne rouillera pas.

Un tremplin vers l’éveil

10,00

Le monde traverse une période de réparation collective. Je souhaite que le confinement permette à chacun de s’interroger, afin que les consciences s’éveillent. Nous n’avons plus le choix. Nous ne pouvons plus repousser l’échéance, car nous sommes tous venus participer à cette fin de ce cycle.L’humanité entière est en train de s’élever, elle le fait comme nous tous, en passant par des phases très douloureuses et perturbantes, car chacun de nous est venu dépasser ses problématiques au même titre que notre chère terre-mère. Semons des graines et diffusons notre amour, afin qu’éclose le jardin d’Éden.

Le fantôme du campanile et autres histoires courtes plus terre à terre

10,00

Ce recueil est né de divers concours de nouvelles : dix-huit textes dont la plupart ont été primés ou sélectionnés.

A travers des scènes de vie tour à tour attendrissantes, bucoliques ou intrigantes, Loys et Martine vous emportent dans un entre-deux, entre réel et imaginaire, dans un tourbillon d’humour et d’amour, de passions et de fictions.

Embarquez pour Venise endormie ou pour les îles du Cap Vert…

Découvrez sous un autre jour la Provence, les Pyrénées, ou le Mercantour…

Au fil des pages, vous croiserez des animaux qui parlent, un vieux chien amoureux de son maître, un montagnard fasciné par une louve.

Vous reconnaîtrez peut-être un écrivain célèbre ou une esquisse de Degas…

On se sent bien dans ces histoires ciselées dont le charme s’étire sur trois pages, ou quatre. Pas plus. Et ça suffit : juste des instants de grâce, des moments intenses…

Bel amant

15,00

Au décès du comte de Grare, ses enfants Louis-Marie et Blanche se retrouvent héritiers du château ancestral du Pré mais également d’un monceau de dettes.

À Paris, la puissante famille de Brunswick donne le ton. Anne de Brunswick, surnommée la baronne, dirige les deux banques héritées de feu son époux d’une main de fer tandis que Stanislas, son fils, se prend d’amitié pour un certain Monsieur Gustave Eiffel à la recherche d’un financement pour sa tour, attraction phare de la prochaine exposition universelle de 1889.

La riche baronne est aussi mécène et c’est lors de l’une de ses soirées à son hôtel particulier parisien qu’elle invite un peintre alors dans la misère : Auguste Renoir. Elle lui propose un contrat : peindre un nu masculin dont le modèle aura la beauté d’Antinoüs, l’innocence de Ganymède et la perfection de Narcisse.

Auguste Renoir rentre à son atelier de Montmartre avec le sentiment d’avoir été lésé : ce modèle n’existe pas. C’est alors que son chemin croise celui de Louis-Marie. La parfaite beauté du jeune homme trouble le peintre qui lui propose de poser nu pour lui. Il ignore tout de lui mais l’invite chez lui. Entre les deux hommes va naître une grande amitié et une inoubliable complicité.

À l’ombre de la Dame de Fer qui s’élève jour après jour dans le ciel de Paris, des destins vont se croiser, des secrets vont se dévoiler et certains apparaîtront alors sous leur véritable jour.

L’Or et le Fer

15,00

— Ferronnier ! Ouvre ta maudite grille !Dorian de Grare ne se doutait pas de l’importance de ses paroles lorsque, le 1er thermidor de l’an II, il quitte son château du Pré pour Paris dans le but de sauver son cousin Enguerrand de l’échafaud.Nous sommes en 1794, au cœur de la Révolution française. La Terreur est à son apogée et, après l’exécution de Danton, Robespierre règne en maître sur le Comité de Salut Public.Aël de Kergoët, jeune ferronnier, se voit proposer un travail exceptionnel en cette époque : la conception et la réalisation d’un portail en fer forgé d’une splendeur inégalée qui devra durer éternellement et marquer la puissance et la richesse du propriétaire du château du Pré, « château blanc flottant sur un lac ». Le jeune homme y fera une rencontre qui bouleversera sa vie : Dorian de Grare. Libertin et débauché, Dorian fréquente les maisons closes parisiennes et sa beauté n’a d’égale que sa cruauté. Fils d’un aristocrate décédé avant la Révolution, Dorian n’a jamais accepté le remariage de sa mère avec le républicain Jean Beaujouan, à qui il doit cependant d’avoir pu conserver ses terres et son château. Un jour cependant, son chemin croise celui d’Alwena, jeune fille pauvre qui fuit la misère de sa Bretagne natale et la guerre entre chouans et armée Républicaine.Jour après jour, tandis que la splendide grille s’élève dans des conditions tragiques et inexplicables, à une époque troublée, Aël et Dorian, aux origines pourtant si discordantes, parviendront à construire une amitié indestructible comme l’Or et le Fer.

La Fontaine aux malades

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C’est un roman historique tout à fait immersif au cœur d’un siècle troublé par la maladie et en proie aux bouleversements des religions. Sur les traces de l’Histoire, nous découvrons des personnages bien typés, justes et droits qui promènent un regard singulier sur le monde en quarantaine qui les entoure. La forme du journal du notaire permet une grande précision tout autant qu’une plongée bienvenue pour comprendre les mœurs, les pensées et les traditions de l’époque. Richement documenté, le récit emprunte au genre du document historique et ravira les passionnés et les curieux pour un moment de lecture où Histoire et histoires ne font plus qu’un, où imaginaire et réalité se rejoignent. Comment se comporterai une communauté qui de nos jours, serait acculée, face à un fléau semblable, à une si longue gestion en vase clos ? En juillet 1631 dans un petit village des Alpes sous la tutelle des princes d’Orange, une épidémie de peste se déclare. Une quarantaine est mise en place. Le notaire du lieu décide de rédiger un mémoire des événements pour cette période d’isolement qui va durer six mois. Avec une majorité protestante, une certaine rigueur permet d’affronter au mieux une série de problèmes qui vont s’additionner : le ravitaillement, la perte du moulin, le décès de responsables, l’arrivée tardive de médicaments, l’accumulation des dettes, les défections, le chauffage, la distribution d’eau. Par souci d’une chronique éclectique, le notaire fait la part belle aux faits divers et aux préparations culinaires et médicinales locales.... Fin janvier 1632, à la levée de la quarantaine, il ne reste que 460 des 600 habitants. Que vont-ils devenirs face à la misère de beaucoup ? Leur sens profond de la vie en communauté va faciliter la lente reprise du cours normal de la vie. Cependant, des années durant, il va falloir honorer les dettes contractées pendant cette période. »

15,00

Les mieux notés

Cent ans d’éducation Mariste à Toulon

20,00

Ce livre illustré par J. Lacroix professeur de dessin à l’Externat Saint Joseph, et par des photographies réalisées par le studio Photo-Hall et André Balas, a été composé grâce aux archives de la société de Marie à Rome, du département du Var et de la Ville de Toulon, ainsi qu’aux souvenirs de plusieurs anciens élèves et professeurs.

Isadora

10,00

Des robots, derniers espoirs des hommes qui n’ont pas su préserver leur planète. Des extraterrestres farceurs mais aussi anges gardiens des êtres humains. Des mondes parallèles. Un ermite de la forêt de Brocéliande qui entre en contact avec des esprits éclairés passés, présents et futurs pour rendre les hommes meilleurs. Une scientifique qui rêve d’inventer la Machine qui recyclerait tous les déchets. Des hommes et des femmes qui disparaissent mystérieusement un vendredi 13….

Dans ces nouvelles de science-fiction, l’auteur invite ses jeunes lecteurs à réfléchir au devenir de leur planète et à prendre conscience des enjeux écologiques pour construire le monde de demain.

Renaissance

10,00

Après “À la dérive”, son premier recueil paru en janvier 2018, Jean-Christophe nous offre son second opus “Renaissance”. Le lecteur est invité à voyager au gré des poèmes dans un univers toujours féminin mais cette fois plus intime, l’auteur nous dévoilant ses états d’âme, ses errances, entre introspection et confession, entre amour et amitié, entre passion et exaltation. La Femme, son obscur objet du désir, est ici sensuelle, parfois cruelle, mais toujours magnifiée.

Le médium guérisseur : Comprendre et pratiquer les soins énergétiques

10,00

Magnétisme curatif ou guérison spirituelle, il existe autant de croyances et de façons de pratiquer qu’il y a de praticiens. Peu importe la procédure ou les gestes, toutes les approches véhiculent la même idée, la même énergie et le même Amour. Cet Amour du bien qui n’a de cesse de se démontrer de lui-même et gagne, petit à petit, sur l’incrédulité générale. Ce qui ne fait que le bien ne peut être l’œuvre du mauvais…

Toutes rejoignent les croyances établies depuis fort longtemps comme le montre, par exemple, un papyrus égyptien datant d’Aménophis 1 (16ème siècle avant Jésus-Christ) sur lequel est inscrite cette phrase caractéristique : “Pose la main sur la douleur et dis que la douleur s’en aille”. Ce geste familier, instinctif, car nous portons automatiquement la main à l’endroit où se fait ressentir une douleur, a perdu aujourd’hui de sa simplicité et de son essence. C’est pourtant ainsi que mon premier soin s’est déroulé, soudainement, sans préconnaissance aucune, en posant ma main et souhaitant par Amour que la douleur s’en aille…

S’ouvrit pour moi ce jour-là, un long chemin de recherche, d’étude et de travail personnel. C’est ainsi que je suis devenu ce que je suis, un guérisseur des âmes et du corps, vous invitant ici à découvrir ces merveilles.

Mathieu l’enlumineur

10,00

« Mathieu l’enlumineur » est le premier tome d’une trilogie qui nous entraîne à la Cour de Bourgogne au XVème siècle et nous invite à revisiter cette fin du Moyen Age où se côtoient enlumineurs, chevaliers et gentes dames. Oyez, bonnes gens, l’histoire de Mathieu, jeune apprenti enlumineur. En même temps qu’il s’initie à l’art de l’enluminure avec deux célèbres maîtres, Jean Tavernier et Jean Fouquet, il découvre les intrigues de la cour bourguignonne. Destins croisés de deux couples : Mathieu et Marie, Eléonore et Arnaud. Amitiés indéfectibles et amour, passion des belles choses, tournois et sièges, rivalités entre chevaliers… Deux univers s’entremêlent pour le plus grand plaisir du lecteur entraîné dans les aventures trépidantes de héros attachants et hauts en couleur.

Contes de la Montagne

10,00

Après les « Contes de la Mer » et les « Contes de la Forêt », Christiane CORAZZI nous propose ses « Contes de la Montagne ». Evasion assurée et rencontre avec des êtres étranges ou des animaux symboliques, fable écologique avec un glacier qui ne veut pas disparaître, valeurs défendues par des montagnards au grand cœur, voyage initiatique où la confrontation avec les éléments rend plus fort… vous serez transportés dans un monde féérique et en même temps réaliste qui séduira les amoureux de la montagne.

La véritable histoire du Père Noël

10,00

Qui est le Père Noël ? A-t-il des parents, des enfants ? D’où vient-il ? Qui était-il avant de décider de consacrer sa vie à faire le bonheur des enfants du monde entier ? Dans ce conte original à colorier, Nathalie Didier revient sur l’histoire du Père Noël telle qu’on ne la jamais lue : comment le petit Noël est devenu l’illustre Père Noël. Une histoire d’une infinie tendresse, à colorier au gré de son imagination, qui transportera le jeune lecteur dans la magie de Noël…

Petits minous, gros toutous

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Prix Jacques Prévert 2018

De par ses origines familiales, Roger-Pol se définit comme celto-ligure et éclectique dans le choix des thèmes et composition de ses poèmes. Une poésie tantôt libre, tantôt rimée, toujours musicale. Il nous livre ici un florilège de petits poèmes tendres écrits initialement pour sa fille Morgane enfant laquelle, maintenant adulte, en accepte la publication. Offrez ces éclats de bonheur, illustrés avec complicité par Dorothée Clauzel, à un jeune enfant, lisez les à un de ces tout-petits que le trou noir d’avant-dodo inquiète. Grands et adultes n’en sont pas exclus..

15,00

Plus de poésie

Évènements à venir

Les classiques

Journal : 1850-1854

15,00

Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. “Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité.” Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la “limitation des genres”. Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.

Le renard

8,00

Renard, le goupil rusé et sans scrupules, joue des tours pendables à Ysengrin le loup et aux autres personnages de la cour de Noble le Lion, qui parfois le dupent à son tour. C’est une peinture, à travers les animaux, de la société médiévale.

Le Horla

7,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Sixième et Quatrième

Le Horla raconte la lente désagrégation d’un esprit, de la dépression à la folie – des maux que connaissait bien Maupassant. Le héros se sent peu à peu envahi par un autre, qui agit à travers lui : le Horla, puissance invisible, inconsciente, qui le manipule. S’installent alors l’incompréhension, la peur, l’angoisse. Jusqu’à l’irréparable. Prenant la forme du journal intime, la nouvelle illustre ce que Freud nommera l’inquiétante étrangeté, cette intrusion progressive du malaise dans le quotidien. Modèle de nouvelle fantastique, Le Horla est aussi une description clinique du dédoublement de personnalité qui menace toute conscience.

Faust

10,00

Aux yeux mêmes de Goethe, cette Première partie de la tragédie de Faust, qu’il fit paraître en 1808 et qui sera plus tard suivie d’un Second Faust, est une oeuvre étrange et barbare, qui ne vise à rien de moins qu’à présenter le « théâtre du monde ». Une oeuvre complexe aussi, où le protagoniste, Faust, assure le lien entre le drame du savant amer, désespérant de percer les secrets de la nature vivante, et celui de Marguerite qui s’éprend du vieil homme rajeuni par Méphistophélès, avant de devenir mère, de tuer son enfant et, condamnée à mort, de refuser de suivre Faust qui, finalement, a tout perdu.

Un cœur simple

4,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Quatrième

L’Histoire d’un cœur simple est tout bonnement le récit d’une vie obscure, celle d’une pauvre fille de campagne, dévote mais mystique, dévouée sans exaltation et tendre comme du pain frais. Elle aime successivement un homme, les enfants de sa maîtresse, un neveu, un vieillard qu’elle soigne, puis son perroquet ; quand le perroquet est mort, elle le fait empailler et, en mourant à son tour, elle confond le perroquet avec le Saint-Esprit. Cela n’est nullement ironique comme vous le supposez, mais au contraire très sérieux et très triste.

Traité élémentaire de la peinture

15,00

Nouvelle édition, revue, corrigée et augmentée de la vie de l’auteur et de 58 figures d’après les dessins originaux de Le Poussin

Léonard de Vinci a toujours été regardé comme le plus savant dans toutes les parties de la Peinture; c’étoit le sentiment du célèbre Poussin, qui avoit si fort étudié les principes et les règles de son art, et il a souvent avoué à ses amis qu’il avoit tiré des ouvrages de Léonard les connoissances qu’il avoit acquises. Après cela, ne doit-on pas être surpris que le Traité de Léonard de Vinci sur la Peinture n’ait paru pour la première fois qu’en 1651 ? Les Italiens, qui sont si jaloux de la gloire de leur nation, l’avoient entre les mains, et il seroit encore enseveli dans la poussière de quelque cabinet, si les François ne l’avoient fait imprimer; il le fut en 1651, en italien et en françois. M. Du Frêne joignit à l’édition italienne qu’il en fit, la Vie de Léonard qu’il avoit composée en italien: celle que je donne en françois n’en est, pour ainsi dire, que la traduction: j’y ai seulement ajouté ce qui se trouve sur Léonard dans Vasari, dans Félibien, et dans ceux qui ont écrit sur la Vie et les Ouvrages des Peintres. J’ai tiré beaucoup de choses d’un manuscrit qui m’a été prêté par un curieux: ce sont des Mémoires en italien pour servir à l’histoire de Léonard de Vinci. L’auteur de ces Mémoires est le père Mazzenta, barnabite Milanois, qui a eu entre les mains les papiers de Léonard, c’est-à-dire, les Traités qu’il a composés, et les dessins qu’il a faits.

Le dernier jour d’un condamné

8,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Seconde

Dans un cachot, un homme s’apprête à mourir. Pour tromper son intolérable attente, le condamné écrit son vain espoir de la grâce, son dernier voyage en fourgon, sa peur d’affronter la foule, mais aussi ses souvenirs de promenades autour de Paris et le sourire de sa petite fille Marie. Bientôt, le condamné sans nom et sans visage se révèle un être de chair et de sang, si proche, en somme, de chacun de nous…

Journal : 1823-1850

15,00

Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. “Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité.” Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la “limitation des genres”. Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.

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