• 0 Articles - 0,00
    • Votre panier est vide.

10,00

Isadora

(2 avis client)

Des robots, derniers espoirs des hommes qui n’ont pas su préserver leur planète. Des extraterrestres farceurs mais aussi anges gardiens des êtres humains. Des mondes parallèles. Un ermite de la forêt de Brocéliande qui entre en contact avec des esprits éclairés passés, présents et futurs pour rendre les hommes meilleurs. Une scientifique qui rêve d’inventer la Machine qui recyclerait tous les déchets. Des hommes et des femmes qui disparaissent mystérieusement un vendredi 13….

Dans ces nouvelles de science-fiction, l’auteur invite ses jeunes lecteurs à réfléchir au devenir de leur planète et à prendre conscience des enjeux écologiques pour construire le monde de demain.

Comparer
978- 2354550080 2018 203 , , ,

L’auteur

"Professeur de Lettres et auteur d’une thèse de littérature médiévale, Christiane CORAZZI a écrit plusieurs romans de littérature jeunesse ainsi que des contes et nouvelles se déroulant au Moyen Age, sa période de prédilection. Dans sa longue expérience du milieu scolaire, elle a côtoyé de nombreux préadolescents et adolescents, écouté parfois leurs confidences, dialogué avec eux et leurs parents ce qui l’a amenée peu à peu à s’intéresser aux problèmes sociétaux d’aujourd’hui et à toutes les difficultés de notre époque : familles éclatées, recomposées, monoparentales. S’interroger sur le comportement de ces jeunes, c’est forcément anticiper leurs questions, s’adapter à leurs comportements imprévisibles et les mettre en garde face à toutes sortes de harcèlements et d’addictions : virtualité des jeux vidéo, tentation de la drogue, violence de certains comportements aux récréations jusqu’à la sortie de leur établissement... Et elle n’a pas encore épuisé ses nombreuses sources d’inspiration !"

2 avis pour Isadora

  1. Bettie Adelakoun

    J’ai lu les 12 nouvelles sans faire de pause et j’ai été emportée dans un tourbillon d’images, de situations et de personnages variés : un beau moment d’évasion !
    Mes préférées : Isadora et La Machine, peut-être pour les héroïnes ?

    Et puis, je les ai relues pour réfléchir . D’un bout à l’autre de la planète, la mondialisation qui efface certaines différences en accentue d’autres. Ses conséquences sont souvent catastrophiques sur le plan économique, écologique et humain suscitant beaucoup de violence. Des mondes parallèles s’installent avec des robots rarement bienveillants tandis que des adolescents avides d’aventures et souvent naïfs sont happés par le monde virtuel. Quelques esprits éclairés réussiront-il à changer l’orientation de notre avenir ?

    Depuis sa trilogie “Le Robot de Gaspard”, CHRISTIANE CORAZZI a beaucoup progressé. Grâce à une documentation plus approfondie, ses textes sont plus riches et elle maîtrise de mieux en mieux ce genre.

    Ce livre, destiné à la jeunesse, pourrait aussi plaire à des adultes”fans” de science-fiction. Alors, à quand un vrai roman ?

  2. Elisabeth THOMAS

    J’ai entamé ma lecture avec, au hasard, “La treizième porte” et j’ai apprécié ce tour du monde de la souffrance qui fait écho de plus en plus à une certaine actualité. Et quel suspense! J’ai apprécié le style qui coule comme de l’eau claire et le regard posé sur l’humanité prise à son propre piège.
    J’ai bien ri avec Oups, dont le comportement m’a rappelé certains comportements d’élèves irréductibles, le vrai démon argumentait qui fait se repentir le héros de lui avoir accordé son attention, un peu comme une punition de la curiosité scientifique ou autre…
    Je suis sensible comme dans tes précédents récits à la vivacité des dialogues, des répliques, et aussi à cette autonomie que gagnent les héros confrontés à des situations qui les expatrient de leurs familles, les sortent de leur cocon pour découvrir autre chose, et il y a des suspenses très forts.
    Tu révèles ton attention pour le monde actuel et ton implication dans les grands problèmes d’une humanité menacée.Le personnage d’Anita est très séduisant à cet égard et l’aréopage de robots-philosophes dans Isadora…la responsabilité de la femme dans le monde du futur.
    Et il y a aussi la poésie avec Bird qui marque la fin du rêve d’Isard et l’omniprésence de la mort triomphante. Ars longa, vita brevis. C’est une mythologie revisitée.

Ajouter un Avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *