Agé de quinze ans, Théodule, qu’on appelait le plus souvent Théo, rêvait de devenir un grand enquêteur. Il passait tout son temps libre à lire des romans policiers et il était incollable sur le sujet. Tous ses camarades connaissaient sa passion pour les énigmes et se moquaient gentiment de lui dès qu’ils en avaient l’occasion.
"Professeur de Lettres et auteur d’une thèse de littérature médiévale, Christiane CORAZZI a écrit plusieurs romans de littérature jeunesse ainsi que des contes et nouvelles se déroulant au Moyen Age, sa période de prédilection.
Dans sa longue expérience du milieu scolaire, elle a côtoyé de nombreux préadolescents et adolescents, écouté parfois leurs confidences, dialogué avec eux et leurs parents ce qui l’a amenée peu à peu à s’intéresser aux problèmes sociétaux d’aujourd’hui et à toutes les difficultés de notre époque : familles éclatées, recomposées, monoparentales.
S’interroger sur le comportement de ces jeunes, c’est forcément anticiper leurs questions, s’adapter à leurs comportements imprévisibles et les mettre en garde face à toutes sortes de harcèlements et d’addictions : virtualité des jeux vidéo, tentation de la drogue, violence de certains comportements aux récréations jusqu’à la sortie de leur établissement...
Et elle n’a pas encore épuisé ses nombreuses sources d’inspiration !"
Victor a 10 ans. C’est un enfant fragile, sensible, mal dans sa peau, qui subit le harcèlement scolaire depuis son entrée à l’école. Sa souffrance morale est telle que son corps crie à l’aide chaque matin lorsqu’il doit se lever : maux de ventre, nausées, tremblements, angoisses, idées noires…. Comment expliquer à sa mère l’incompréhensible ? Comment dire l’indicible ? Comment continuer à avancer et se construire ?L’arrivée de Bao, une nouvelle élève venue tout droit de Chine, va bouleverser sa vie. Parviendra-t-elle à lui redonner confiance, à l’aider à faire face aux harceleurs ?
Un lapin à la recherche de l’âme sœur, un chat philosophe, une tortue aventureuse, un dauphin sauvé par un pêcheur, un chien abandonné sur une aire d’autoroute par ses maîtres, un canari épris de liberté…. Toute une galerie de portraits tendres et drôles, tristes aussi parfois, où se mêlent réalité et imaginaire et qui nous invite à la réflexion tout en nous distrayant. Les enfants ont un rôle privilégié dans ces récits où l’auteure montre leur complicité avec les animaux. Quelle doit être la place des animaux dans un monde respectueux de la nature ? Quel regard les animaux portent-ils sur nous ? Saurons- nous sauvegarder la richesse animale de notre planète ? Ces questionnements sous-tendent le propos de l’auteure qui, une fois de plus, incite ses jeunes lecteurs à devenir les acteurs responsables de leur devenir.
D’un pays de légende et de la forêt de Brocéliande au château de Monségur, en pays cathare, en passant par l’abbaye du Thoronet, en Provence…Un preux chevalier, une damoiselle peu soumise, un moine persévérant et courageux, un enfant perdu dans la tourmente de l’Histoire…. Quatre chemins initiatiques qui se rejoignent dans le dépassement de soi et la quête de liberté et d’identité !
Des robots, derniers espoirs des hommes qui n’ont pas su préserver leur planète. Des extraterrestres farceurs mais aussi anges gardiens des êtres humains. Des mondes parallèles. Un ermite de la forêt de Brocéliande qui entre en contact avec des esprits éclairés passés, présents et futurs pour rendre les hommes meilleurs. Une scientifique qui rêve d’inventer la Machine qui recyclerait tous les déchets. Des hommes et des femmes qui disparaissent mystérieusement un vendredi 13….
Dans ces nouvelles de science-fiction, l’auteur invite ses jeunes lecteurs à réfléchir au devenir de leur planète et à prendre conscience des enjeux écologiques pour construire le monde de demain.
Il fallut plusieurs jours à la tribu Ducresson-Dujardin pour accepter l’idée de partir en vacances en famille… Certains étaient réticents ; les idées fusèrent, dont les plus farfelues, pour organiser le voyage avec deux adultes, huit enfants, un bébé et un chien ! Comment allaient-ils cohabiter ? Où aller ? Pourvu que le séjour ne ressemble pas à une colonie de vacances ! Chacun souhaitait peu de contraintes et beaucoup d’imprévu ! Enfin la décision fut prise : on partirait bien tous ensemble. Pourquoi pas à Sanary qui rappellerait à Fabrice ses souvenirs d’enfant et d’adolescent ?
La PEUR ! Ce terme évoque des situations très diverses : la peur devant une situation qu’on ne comprend pas ou qu’on ne maîtrise pas, la phobie d’un animal tel que le serpent ou l’araignée, le vertige, jusqu’à l’angoisse légitime d’un père ou d’une mère pour un enfant malade ou en danger, la crainte de ne pas être à la hauteur d’une tâche… C’est un sentiment souvent ressenti, à tort ou à raison. La peur nous paralyse, nous amoindrit, parfois même nous fait commettre des erreurs. Il est parfois possible de la surmonter. C’est en tout cas un ressort souvent utilisé dans la littérature et les films d’aventure ou d’horreur. Il s’appuie sur nos failles et nos faiblesses. Mais il nous arrive parfois d’aimer avoir peur, surtout si on sait que ce n’est pas « pour de vrai » comme disent les enfants. L’auteur nous propose quelques récits dont le thème central est la peur pour nous distraire et nous faire éprouver le grand frisson.
Des enquêtes à lire absolument. Théo et ses amis sont des personnages très attachants. On ne s’ennuie jamais car les histoires sont pleines de rebondissements. En même temps, tous les problèmes actuels de la société auxquels la jeunesse actuelle est confrontée sont abordés ( drogue, harcèlement…), mais toujours de manière positive, en apportant des solutions, la meilleure étant la solidarité dont Théo et ses amis font preuve.
Note 4 sur 5
adelakoun –
Avec ses amis Jonathan, Lise puis Bill, notre héros mène une série de dix enquêtes; certaines légères, d’autres bien plus graves, ponctuées d’instants drôles ou émouvants.
Petit monde en miroir du nôtre…
Délicatesse des sentiments d’ados qui se cherchent dans des situations toujours vraisemblables et inquiétantes.
Le polar_ce genre si apprécié aujourd’hui_ n’est-il pas un moyen de faire naître chez nos ados ,e goût et le plaisir de la lecture ?
La PEUR ! Ce terme évoque des situations très diverses : la peur devant une situation qu’on ne comprend pas ou qu’on ne maîtrise pas, la phobie d’un animal tel que le serpent ou l’araignée, le vertige, jusqu’à l’angoisse légitime d’un père ou d’une mère pour un enfant malade ou en danger, la crainte de ne pas être à la hauteur d’une tâche… C’est un sentiment souvent ressenti, à tort ou à raison. La peur nous paralyse, nous amoindrit, parfois même nous fait commettre des erreurs. Il est parfois possible de la surmonter. C’est en tout cas un ressort souvent utilisé dans la littérature et les films d’aventure ou d’horreur. Il s’appuie sur nos failles et nos faiblesses. Mais il nous arrive parfois d’aimer avoir peur, surtout si on sait que ce n’est pas « pour de vrai » comme disent les enfants. L’auteur nous propose quelques récits dont le thème central est la peur pour nous distraire et nous faire éprouver le grand frisson.
« Mathieu l’enlumineur » est le premier tome d’une trilogie qui nous entraîne à la Cour de Bourgogne au XVème siècle et nous invite à revisiter cette fin du Moyen Age où se côtoient enlumineurs, chevaliers et gentes dames. Oyez, bonnes gens, l’histoire de Mathieu, jeune apprenti enlumineur. En même temps qu’il s’initie à l’art de l’enluminure avec deux célèbres maîtres, Jean Tavernier et Jean Fouquet, il découvre les intrigues de la cour bourguignonne. Destins croisés de deux couples : Mathieu et Marie, Eléonore et Arnaud. Amitiés indéfectibles et amour, passion des belles choses, tournois et sièges, rivalités entre chevaliers… Deux univers s’entremêlent pour le plus grand plaisir du lecteur entraîné dans les aventures trépidantes de héros attachants et hauts en couleur.
Pierre arriva sur son nouveau chantier par un beau jour de juin 1220. Compagnon tailleur de pierres de son état, il se présenta auprès du maître artisan, Paul Roussette, qui l’avait engagé pour travailler à la construction de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, commencée en 1163. Au cours de son tour de France, Pierre avait acquis de l’expérience, il n’en était pas à sa première cathédrale. Cependant il était ému et fier de se trouver à Paris.
La fiancée du robot est la suite du Robot de Gaspar. Hector était un petit robot bien triste depuis que son créateur, Gaspar, avait disparu. Il n’était plus utile à personne et s’ennuyait ferme. Son maître n’avait jamais accédé à sa demande de lui fabriquer une fiancée. Pourtant il l’en avait supplié pendant des mois et des années puis avait fini par renoncer.
L’auteur nous entraîne en Laponie chez le Père Noël mais aussi dans bien d’autres lieux où la féérie de Noël prend des visages particuliers : au Brésil, en Alsace, dans les îles grecques, en Provence… Le Père Fouettard vient à la rescousse du Père Noël pour remettre dans le droit chemin les enfants trop gâtés… Noël se fête aussi en mer… Des contes variés et distrayants… Laissez-vous porter par cette magie de Noël intemporelle et découvrez des personnages attachants et émouvants.
Un pauvre petit garçon ramassait des brindilles dans la forêt, par une froide journée de janvier. Il avait promis à sa mère, une pauvre veuve sans ressources, de lui ramener de quoi faire un feu pour le soir. Il pensait avoir encore deux heures devant lui avant que la nuit ne tombe.
Jacqueline Santi –
Des enquêtes à lire absolument. Théo et ses amis sont des personnages très attachants. On ne s’ennuie jamais car les histoires sont pleines de rebondissements. En même temps, tous les problèmes actuels de la société auxquels la jeunesse actuelle est confrontée sont abordés ( drogue, harcèlement…), mais toujours de manière positive, en apportant des solutions, la meilleure étant la solidarité dont Théo et ses amis font preuve.
adelakoun –
Avec ses amis Jonathan, Lise puis Bill, notre héros mène une série de dix enquêtes; certaines légères, d’autres bien plus graves, ponctuées d’instants drôles ou émouvants.
Petit monde en miroir du nôtre…
Délicatesse des sentiments d’ados qui se cherchent dans des situations toujours vraisemblables et inquiétantes.
Le polar_ce genre si apprécié aujourd’hui_ n’est-il pas un moyen de faire naître chez nos ados ,e goût et le plaisir de la lecture ?