

19,50€
Mon cri vers le Ciel
Vous qui allez lire ce livre. Préparez votre cœur à vivre avec cet être les difficultés de sa vie. Et quoi qu’il arrive dans votre propre existence, pensez que la vie a un sens, garder au cœur confiance et foi. La vie de cet être a été dure, elle a tout rencontré, tout vécu l’abandon, le handicape de son enfant, la violence … Parce qu’elle ne savait pas, elle a avancé, en aveugle. Vous qui ouvrez vos cœurs, en lisant, vous penserez certainement que la vie est injuste, difficile, terrible pour beaucoup. Comment un être de 13 ans peut-il en arriver à vouloir cesser de vivre. 13 ans, début de l’adolescence et déjà une telle souffrance qu’on ne peut envisager d’autre issue que la fin. L’auteur n’a écrit cette autobiographie que dans un seul but « aider, aider chacun à ouvrir ses yeux et ses oreilles pour voir et entendre le meilleur … les signes ».
L’auteur
Produits apparentés
Au secours de l’emploi : 35 ans au service de l’ANPE
15,00€Le livre s’ouvre sur l’entretien que l’auteur aeu avec un conseiller de l’ANPE en 1976, alors qu’elle était au chômage : « Je n’ai rien pour vous, aucun travail, vous ne trouverez rien ici. » Trente cinq ans après, Francine Chenet est toujours à l’ANPE, mais de l’autre côté de la barrière, en tant que directrice d’agence. Pendant toutes ces années, elle a été confrontée aux critiques envers cet établissement : Sa lourdeur administrative, le peu de soutien aux demandeurs d’emploi, le manque d’écoute aux besoins des entreprises, les doutes sur la fiabilité des statistiques etc. Elle a voulu, tout au long de ces pages répondre à ces critiques, parfois justifiées, toujours exagérées, souvent erronées. Elle retrace tout son parcours, depuis son embauche en tant que prospecteur- placier jusqu’à aujourd’hui, d’agence en agence, au fil des différents postes qui lui ont été confiés. Plus qu’un livre technique, c’est le regard intérieur porté sur l’ANPE, devenu aujourd’hui Pôle-Emploi, ses équipes, ses missions, ses organisations successives selon la politique de l’emploi du moment. Elle a fait une large place au métier de conseil, principale fonction de l’ANPE envers les demandeurs d’emploi. Le livre est riche d’anecdotes, amusantes ou émouvantes, reflets de la dimension humaine qui constitue, au-delà de la froideur des chiffres, le quotidien des 50 000 agents de l’établissement. Il parle aussi et surtout aux demandeurs d’emploi, en leur expliquant comment utiliser au mieux les services qui leur sont offerts, pour mener à bien leur projet de reclassement.
Traité élémentaire de la peinture
15,00€Nouvelle édition, revue, corrigée et augmentée de la vie de l’auteur et de 58 figures d’après les dessins originaux de Le Poussin
Léonard de Vinci a toujours été regardé comme le plus savant dans toutes les parties de la Peinture; c’étoit le sentiment du célèbre Poussin, qui avoit si fort étudié les principes et les règles de son art, et il a souvent avoué à ses amis qu’il avoit tiré des ouvrages de Léonard les connoissances qu’il avoit acquises. Après cela, ne doit-on pas être surpris que le Traité de Léonard de Vinci sur la Peinture n’ait paru pour la première fois qu’en 1651 ? Les Italiens, qui sont si jaloux de la gloire de leur nation, l’avoient entre les mains, et il seroit encore enseveli dans la poussière de quelque cabinet, si les François ne l’avoient fait imprimer; il le fut en 1651, en italien et en françois. M. Du Frêne joignit à l’édition italienne qu’il en fit, la Vie de Léonard qu’il avoit composée en italien: celle que je donne en françois n’en est, pour ainsi dire, que la traduction: j’y ai seulement ajouté ce qui se trouve sur Léonard dans Vasari, dans Félibien, et dans ceux qui ont écrit sur la Vie et les Ouvrages des Peintres. J’ai tiré beaucoup de choses d’un manuscrit qui m’a été prêté par un curieux: ce sont des Mémoires en italien pour servir à l’histoire de Léonard de Vinci. L’auteur de ces Mémoires est le père Mazzenta, barnabite Milanois, qui a eu entre les mains les papiers de Léonard, c’est-à-dire, les Traités qu’il a composés, et les dessins qu’il a faits.
Le médium guérisseur : Comprendre et pratiquer les soins énergétiques
10,00€Magnétisme curatif ou guérison spirituelle, il existe autant de croyances et de façons de pratiquer qu’il y a de praticiens. Peu importe la procédure ou les gestes, toutes les approches véhiculent la même idée, la même énergie et le même Amour. Cet Amour du bien qui n’a de cesse de se démontrer de lui-même et gagne, petit à petit, sur l’incrédulité générale. Ce qui ne fait que le bien ne peut être l’œuvre du mauvais…
Toutes rejoignent les croyances établies depuis fort longtemps comme le montre, par exemple, un papyrus égyptien datant d’Aménophis 1 (16ème siècle avant Jésus-Christ) sur lequel est inscrite cette phrase caractéristique : “Pose la main sur la douleur et dis que la douleur s’en aille”. Ce geste familier, instinctif, car nous portons automatiquement la main à l’endroit où se fait ressentir une douleur, a perdu aujourd’hui de sa simplicité et de son essence. C’est pourtant ainsi que mon premier soin s’est déroulé, soudainement, sans préconnaissance aucune, en posant ma main et souhaitant par Amour que la douleur s’en aille…
S’ouvrit pour moi ce jour-là, un long chemin de recherche, d’étude et de travail personnel. C’est ainsi que je suis devenu ce que je suis, un guérisseur des âmes et du corps, vous invitant ici à découvrir ces merveilles.
Découvrir la médiumnité : Ce qu’elle est, ce qu’elle n’est pas, ce qu’elle nous révèle
10,00€“A l’heure actuelle, beaucoup de consciences s’éveillent à des systèmes de pensées différents et aspirent à un éveil spirituel d’autant plus effectif qu’il est nécessaire. L’homme tend vers une sagesse dont il (re)découvre les bienfaits, maintes fois véhiculés par tant de mouvements, idéologies, philosophies et de textes. La lumière semble percer le voile ombragé comme jamais. Les perceptions de bon nombre d’entre nous s’étendent, notre taux vibratoire augmente, notre volonté de mieux (mieux être, mieux vivre, mieux aimer, mieux donner, etc.) devient le crédo phare d’une société nous démontrant ses fractures, ses incohérences et les limites d’un matérialisme forcené. La Providence, elle, multiplie les outils, les signes, les courants porteurs de ce renouveau spirituel. La médiumnité est un des ces outils.”
Journal : 1855-1863
15,00€Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. “Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité.” Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la “limitation des genres”. Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.
Marta Blixt –
Ce n’est pas de la littérature mais un vrai cri de douleur qui se termine par une note positive. Livre à recommander à toute personne qui se juge vivre des moments difficiles.