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Destins interdits

15,00

Julian a seize ans. Jeune délinquant et ancien toxicomane, il habite un vieux mobil-home vétuste avec sa mère et sa petite soeur. Très vite déscolarisé, il gagne cependant beaucoup d’argent en faisant des combats de boxe, la nuit dans les sous-sols des immeubles des cités. Julian n’a qu’une passion : le muy thai, ou boxe thaïlandaise, où il excelle, mais il n’a pas de rêves, pas de projets, pas d’avenir. 

Kentin a seize ans. Adolescent brillant, dont la beauté n’a d’égale que l’intelligence, il est le fils unique d’Alexandre Dumont de Givry, dix-neuvième comte de Givry, et habite le château de ses illustres ancêtres. Kentin a un rêve secret : devenir créateur de parfums, ce qui n’est pas du goût de son père. Julian et Kentin vivent à quelques centaines de mètres l’un de l’autre, mais ils ignorent totalement leurs existences. 

Une relation ambigüe qui commence par un viol, et un pardon qui mènera le jeune Julian aux portes de l’enfer. Deux existences qui n’auraient jamais dû se croiser ; deux mondes qui n’auraient jamais dû se rencontrer ; une passion qui n’aurait jamais dû voir le jour ; deux destins qui n’auraient jamais dû s’unir : deux destins interdits.

#Smartarded : Le Cycle des NoéNautes I

10,00

L’histoire, c’est celle d’Enguerrand Kunismos. Ce jeune homme de 25 ans avait une carrière prometteuse en tant qu’ingêneur. Une sorte de consultant en connardise qui gagne très bien sa vie en imaginant comment pourrir efficacement la nôtre. Mais un accident lui fait développer des capacités assez étranges… Celles de voir et d’intervenir dans les histoires qui se jouent dans nos têtes. Dans la noétie, la sphère des idées.

Enguerrand est un NoéNaute.

Or, les NoéNautes sont peu nombreux.

Et ils détestent savoir que d’autres sont -encore- en vie.

Enguerrand découvre le petit monde des NoéNautes et ses règles subtiles en essayant de sauver sa peau. Il nous blogue donc sa cavale avec Fulbert (énigmatique monsieur je-sais-tout au magnifique fessier) dans un road-movie livresque bourré de #hashtags cyniques, de références geek, d’amours LGBT. Et d’un héros qui se prend pour un méchant.

Un cœur simple

4,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Quatrième

L’Histoire d’un cœur simple est tout bonnement le récit d’une vie obscure, celle d’une pauvre fille de campagne, dévote mais mystique, dévouée sans exaltation et tendre comme du pain frais. Elle aime successivement un homme, les enfants de sa maîtresse, un neveu, un vieillard qu’elle soigne, puis son perroquet ; quand le perroquet est mort, elle le fait empailler et, en mourant à son tour, elle confond le perroquet avec le Saint-Esprit. Cela n’est nullement ironique comme vous le supposez, mais au contraire très sérieux et très triste.

Histoires courtes pour avoir peur

10,00

La PEUR ! Ce terme évoque des situations très diverses : la peur devant une situation qu’on ne comprend pas ou qu’on ne maîtrise pas, la phobie d’un animal tel que le serpent ou l’araignée, le vertige, jusqu’à l’angoisse légitime d’un père ou d’une mère pour un enfant malade ou en danger, la crainte de ne pas être à la hauteur d’une tâche… C’est un sentiment souvent ressenti, à tort ou à raison. La peur nous paralyse, nous amoindrit, parfois même nous fait commettre des erreurs. Il est parfois possible de la surmonter. C’est en tout cas un ressort souvent utilisé dans la littérature et les films d’aventure ou d’horreur. Il s’appuie sur nos failles et nos faiblesses. Mais il nous arrive parfois d’aimer avoir peur, surtout si on sait que ce n’est pas « pour de vrai » comme disent les enfants. L’auteur nous propose quelques récits dont le thème central est la peur pour nous distraire et nous faire éprouver le grand frisson.

Histoires courtes pour s’endormir

10,00

Un petit garçon orphelin dont le seul confident est un ours en peluche, une petite fille malade en attente de greffe, des jumeaux farceurs, un enfant surdoué… tout une galerie de portraits d’enfants ou de jeunes adultes, tendres, moqueurs, passionnés et souvent en quête d’affection, de sécurité ou de repères. L’humour et l’insolite côtoient la tendresse dans ces courts récits où chacun pourra trouver matière à se distraire ou à réfléchir.

Mon cri vers le Ciel

19,50

Vous qui allez lire ce livre. Préparez votre cœur à vivre avec cet être les difficultés de sa vie. Et quoi qu’il arrive dans votre propre existence, pensez que la vie a un sens, garder au cœur confiance et foi. La vie de cet être a été dure, elle a tout rencontré, tout vécu l’abandon, le handicape de son enfant, la violence … Parce qu’elle ne savait pas, elle a avancé, en aveugle. Vous qui ouvrez vos cœurs, en lisant, vous penserez certainement que la vie est injuste, difficile, terrible pour beaucoup. Comment un être de 13 ans peut-il en arriver à vouloir cesser de vivre. 13 ans, début de l’adolescence et déjà une telle souffrance qu’on ne peut envisager d’autre issue que la fin. L’auteur n’a écrit cette autobiographie que dans un seul but « aider, aider chacun à ouvrir ses yeux et ses oreilles pour voir et entendre le meilleur … les signes ».

Le cheval à bascule et autres histoires courtes

10,00

Une pâle lueur éclairait le petit lit dans lequel le jeune Didier dormait enfin paisiblement. Sa mère entrouvrit la porte pour vérifier que tout allait bien car son sommeil était souvent agité depuis le départ de son père. Comment expliquer à un enfant de cinq ans qu’il ne verrait plus son papa tous les jours et qu’il devrait le partager avec une autre famille ? Didier avait beaucoup pleuré, persuadé qu’il avait dû faire quelque chose de mal pour que son père ne veuille plus le voir. Sa mère avait essayé de lui faire comprendre qu’il n’y était pour rien, que c’était une histoire de grandes personnes et que son père l’aimait toujours autant. Mais il n’avait pas voulu la croire.

Le portrait et autres contes et nouvelles

10,00

Dans la vieille demeure ancestrale du comte de Trunck se trouvait un portrait qui intriguait tous ceux qui le voyaient. C’était la première chose qui s’imposait au regard lorsqu’on pénétrait dans la grande salle. Au-dessus de la cheminée, un visage d’une laideur repoussante vous glaçait le sang et il fallait un grand sang froid pour affronter cette vision. Certains visiteurs s’enfuyaient sans même s’excuser auprès de leur hôte. D’autres restaient pétrifiés sans pouvoir détacher leurs yeux de ce portrait. Les plus maîtres d’eux-mêmes demandaient de qui il s’agissait.

Les lunettes magiques et autres contes et nouvelles

10,00

Lulu était une adorable fillette de huit ans mais elle était très distraite à l’école. La raison en était qu’elle ne voyait pas très bien ce que la maîtresse écrivait sur le tableau noir. Aussi s’ennuyait-elle et laissait-elle vagabonder son imagination. Un jour l’institutrice convoqua ses parents pour les mettre en garde et chercher avec eux les raisons de l’attitude de Lulu.