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Pierre Courage: Bâtisseur de cathédrale

10,00

Pierre arriva sur son nouveau chantier par un beau jour de juin 1220. Compagnon tailleur de pierres de son état, il se présenta auprès du maître artisan, Paul Roussette, qui l’avait engagé pour travailler à la construction de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, commencée en 1163. Au cours de son tour de France, Pierre avait acquis de l’expérience, il n’en était pas à sa première cathédrale. Cependant il était ému et fier de se trouver à Paris.

Traité élémentaire de la peinture

15,00

Nouvelle édition, revue, corrigée et augmentée de la vie de l’auteur et de 58 figures d’après les dessins originaux de Le Poussin

Léonard de Vinci a toujours été regardé comme le plus savant dans toutes les parties de la Peinture; c’étoit le sentiment du célèbre Poussin, qui avoit si fort étudié les principes et les règles de son art, et il a souvent avoué à ses amis qu’il avoit tiré des ouvrages de Léonard les connoissances qu’il avoit acquises. Après cela, ne doit-on pas être surpris que le Traité de Léonard de Vinci sur la Peinture n’ait paru pour la première fois qu’en 1651 ? Les Italiens, qui sont si jaloux de la gloire de leur nation, l’avoient entre les mains, et il seroit encore enseveli dans la poussière de quelque cabinet, si les François ne l’avoient fait imprimer; il le fut en 1651, en italien et en françois. M. Du Frêne joignit à l’édition italienne qu’il en fit, la Vie de Léonard qu’il avoit composée en italien: celle que je donne en françois n’en est, pour ainsi dire, que la traduction: j’y ai seulement ajouté ce qui se trouve sur Léonard dans Vasari, dans Félibien, et dans ceux qui ont écrit sur la Vie et les Ouvrages des Peintres. J’ai tiré beaucoup de choses d’un manuscrit qui m’a été prêté par un curieux: ce sont des Mémoires en italien pour servir à l’histoire de Léonard de Vinci. L’auteur de ces Mémoires est le père Mazzenta, barnabite Milanois, qui a eu entre les mains les papiers de Léonard, c’est-à-dire, les Traités qu’il a composés, et les dessins qu’il a faits.

Petites histoires d’animaux pas si bêtes

10,00

Un lapin à la recherche de l’âme sœur, un chat philosophe, une tortue aventureuse, un dauphin sauvé par un pêcheur, un chien abandonné sur une aire d’autoroute par ses maîtres, un canari épris de liberté…. Toute une galerie de portraits tendres et drôles, tristes aussi parfois, où se mêlent réalité et imaginaire et qui nous invite à la réflexion tout en nous distrayant. Les enfants ont un rôle privilégié dans ces récits où l’auteure montre leur complicité avec les animaux. Quelle doit être la place des animaux dans un monde respectueux de la nature ? Quel regard les animaux portent-ils sur nous ? Saurons- nous sauvegarder la richesse animale de notre planète ? Ces questionnements sous-tendent le propos de l’auteure qui, une fois de plus, incite ses jeunes lecteurs à devenir les acteurs responsables de leur devenir.

Le renard

8,00

Renard, le goupil rusé et sans scrupules, joue des tours pendables à Ysengrin le loup et aux autres personnages de la cour de Noble le Lion, qui parfois le dupent à son tour. C’est une peinture, à travers les animaux, de la société médiévale.

Renaissance

10,00

Après “À la dérive”, son premier recueil paru en janvier 2018, Jean-Christophe nous offre son second opus “Renaissance”. Le lecteur est invité à voyager au gré des poèmes dans un univers toujours féminin mais cette fois plus intime, l’auteur nous dévoilant ses états d’âme, ses errances, entre introspection et confession, entre amour et amitié, entre passion et exaltation. La Femme, son obscur objet du désir, est ici sensuelle, parfois cruelle, mais toujours magnifiée.

Journal : 1823-1850

15,00

Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. “Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité.” Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la “limitation des genres”. Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.

Le Horla

7,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Sixième et Quatrième

Le Horla raconte la lente désagrégation d’un esprit, de la dépression à la folie – des maux que connaissait bien Maupassant. Le héros se sent peu à peu envahi par un autre, qui agit à travers lui : le Horla, puissance invisible, inconsciente, qui le manipule. S’installent alors l’incompréhension, la peur, l’angoisse. Jusqu’à l’irréparable. Prenant la forme du journal intime, la nouvelle illustre ce que Freud nommera l’inquiétante étrangeté, cette intrusion progressive du malaise dans le quotidien. Modèle de nouvelle fantastique, Le Horla est aussi une description clinique du dédoublement de personnalité qui menace toute conscience.

À la dérive

10,00

Jean-Christophe Michaux est né un 27 mars, les autres jours étaient déjà pris. Il est du signe du Bélier, ce qui n’est pas de sa faute. Epicurien, curieux, rationnel au-delà du raisonnable, Jean-Christophe est un être doté d’un sérieux sens de l’humour, et d’un désespoir poli. Il est mon ami, et il doit le rester. Il est aussi un auteur de poèmes remarquables qu’il nous invite à découvrir dans ce recueil.

Contes de la Montagne

10,00

Après les « Contes de la Mer » et les « Contes de la Forêt », Christiane CORAZZI nous propose ses « Contes de la Montagne ». Evasion assurée et rencontre avec des êtres étranges ou des animaux symboliques, fable écologique avec un glacier qui ne veut pas disparaître, valeurs défendues par des montagnards au grand cœur, voyage initiatique où la confrontation avec les éléments rend plus fort… vous serez transportés dans un monde féérique et en même temps réaliste qui séduira les amoureux de la montagne.

Contes de la forêt

10,00

Il était une fois un jeune chevalier qui vivait tout près de la forêt de Brocéliande. Il rêvait depuis l’enfance de rencontrer l’enchanteur Merlin. Il décida donc un jour de sillonner ce lieu magique dans l’espoir de l’apercevoir. Récemment adoubé, il lui fallait faire ses preuves en tant que chevalier errant. Si Merlin daignait le prendre sous son aile, comme il l’avait fait pour Arthur jadis, son avenir serait assuré et il connaîtrait lui aussi la gloire et les honneurs. Par un beau matin ensoleillé, il pénétra dans le bois touffu, le cœur plein d’attente. Au bout d’un moment il rencontra une vieille femme qui ramassait du petit bois. Elle se redressa en entendant le pas du cheval.

Richard Stallman et la révolution du logiciel libre: Une biographie autorisée

10,00

Né en 1953, Richard Stallman est un programmeur américain hors pair considéré comme le « père » du logiciel libre.Son héritage est unanimement reconnu et son influence toujours plus grande sur nos sociétés actuelles de l’information et de la communication. Ses conférences en français débutent invariablement ainsi : « Je puis résumer le logiciel libre en trois mots : liberté, égalité, fraternité… ».Cette biographie éclaire sans complaisance la vie de ce personnage autant décrié qu’encensé qui a révolutionné l’histoire du logiciel en particulier en initiant le projet GNU. À travers cet ouvrage, nous pouvons mieux connaître le parcours et les combats de cet homme hors du commun.

#Smartarded : Le Cycle des NoéNautes I

10,00

L’histoire, c’est celle d’Enguerrand Kunismos. Ce jeune homme de 25 ans avait une carrière prometteuse en tant qu’ingêneur. Une sorte de consultant en connardise qui gagne très bien sa vie en imaginant comment pourrir efficacement la nôtre. Mais un accident lui fait développer des capacités assez étranges… Celles de voir et d’intervenir dans les histoires qui se jouent dans nos têtes. Dans la noétie, la sphère des idées.

Enguerrand est un NoéNaute.

Or, les NoéNautes sont peu nombreux.

Et ils détestent savoir que d’autres sont -encore- en vie.

Enguerrand découvre le petit monde des NoéNautes et ses règles subtiles en essayant de sauver sa peau. Il nous blogue donc sa cavale avec Fulbert (énigmatique monsieur je-sais-tout au magnifique fessier) dans un road-movie livresque bourré de #hashtags cyniques, de références geek, d’amours LGBT. Et d’un héros qui se prend pour un méchant.

Au Cœur du Moyen-Âge

10,00

Moyen-Âge aux multiples facettes !

D’un pays de légende et de la forêt de Brocéliande au château de Monségur, en pays cathare, en passant par l’abbaye du Thoronet, en Provence…Un preux chevalier, une damoiselle peu soumise, un moine persévérant et courageux, un enfant perdu dans la tourmente de l’Histoire…. Quatre chemins initiatiques qui se rejoignent dans le dépassement de soi et la quête de liberté et d’identité !

L’homme qui plantait des arbres

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de CM1 et CM2

Été 1913. Le narrateur, un jeune homme de vingt ans entreprend une longue marche « dans cette très vieille région des Alpes qui pénètre en Provence ». Petit point dans l’immensité, il parcourt la montagne désolée où juste quelques lavandes disséminées osent pousser. Les villages qu’il trouve sur son chemin ont été abandonnés, faute d’eau. Seul le vent souffle à ses oreilles. La vie semble avoir quitté cet endroit. Après plusieurs jours de déambulation, il rencontre un berger qui lui offre l’hospitalité. L’homme s’appelle Elzéard Bouffier. Jadis, il eut une femme, un fils et une ferme. Suite à leur perte, il s’est retiré ici dans une petite maison en pierres, chaleureuse et confortable, avec ses brebis et son chien.

Devant le narrateur, l’homme se met à trier des glands… et le lendemain, il le voit les planter dans la terre avec une longue tringle de fer. Bouffier lui confie alors qu’ « il avait jugé que ce pays mourait par manque d’arbres. Il ajouta que, n’ayant pas d’occupations très importantes, il avait résolu de remédier à cet état de choses. » Depuis trois ans, il avait planté près de cent mille arbres.

Le jeune homme n’oubliera jamais cet homme qui plantait des arbres. La guerre de 14-18 fait rage, et tue beaucoup. Soldat pendant cinq ans, les yeux emplis d’atrocité, il retourne en Provence, sur ce lieu qui l’apaise tant. Elzéard est encore là. S’il s’occupe maintenant de ruches, il poursuit toujours son rituel de reforestation d’un pas lent, avec patience et persévérance. Le paysage s’est modifié, de jeunes arbres poussent désormais, l’eau recommence à couler…

La dernière fois que les deux hommes se virent, le plus vieux allait sur ses quatre-vingt-dix-sept ans. Une forêt avait remplacé le désert de 1913, on avait construit des maisons entourées de jardins, on pouvait voir au loin des fermes et des champs d’orge, et on entendait ruisseler l’eau…

Cette fable est une ode à la nature, à la générosité et à la vie. Par la seule volonté d’un homme, par son geste, par sa main, une forêt est née. Cet homme qui s’était retiré de la civilisation, dans une profonde solitude, ignorant les guerres, avait su ramener la vie là où elle avait disparu.

Le dernier jour d’un condamné

8,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Seconde

Dans un cachot, un homme s’apprête à mourir. Pour tromper son intolérable attente, le condamné écrit son vain espoir de la grâce, son dernier voyage en fourgon, sa peur d’affronter la foule, mais aussi ses souvenirs de promenades autour de Paris et le sourire de sa petite fille Marie. Bientôt, le condamné sans nom et sans visage se révèle un être de chair et de sang, si proche, en somme, de chacun de nous…

Enfermés dehors

10,00
Les INfréquentables, groupe de rock français formé en 2016, composé de Lilian Manteaux, Louis Brazzi, Nicolas Leroy, Nicolas Barcelo, Béatrice Pardossi-Sarno et Alex Pardossi, sortent leur premier EP de 6 titres intitulé Enfermés dehors.

Sur des musiques absolument rock et résolument électriques, les INfréquentables présentent des textes francs et engagés sur la société actuelle, un appel au discernement et à un retour à l’essentiel. Hors du commercial et des bienséances, ils sont insolents mais aussi poètes et n’hésitent pas à faire appel au monde littéraire.

Faust

10,00

Aux yeux mêmes de Goethe, cette Première partie de la tragédie de Faust, qu’il fit paraître en 1808 et qui sera plus tard suivie d’un Second Faust, est une oeuvre étrange et barbare, qui ne vise à rien de moins qu’à présenter le « théâtre du monde ». Une oeuvre complexe aussi, où le protagoniste, Faust, assure le lien entre le drame du savant amer, désespérant de percer les secrets de la nature vivante, et celui de Marguerite qui s’éprend du vieil homme rajeuni par Méphistophélès, avant de devenir mère, de tuer son enfant et, condamnée à mort, de refuser de suivre Faust qui, finalement, a tout perdu.

Journal : 1855-1863

15,00

Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. “Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité.” Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la “limitation des genres”. Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.