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Journal : 1855-1863
15,00€Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. « Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité. » Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la « limitation des genres ». Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.
Journal : 1850-1854
15,00€Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. « Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité. » Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la « limitation des genres ». Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.
À la dérive
10,00€Jean-Christophe Michaux est né un 27 mars, les autres jours étaient déjà pris. Il est du signe du Bélier, ce qui n’est pas de sa faute. Epicurien, curieux, rationnel au-delà du raisonnable, Jean-Christophe est un être doté d’un sérieux sens de l’humour, et d’un désespoir poli. Il est mon ami, et il doit le rester. Il est aussi un auteur de poèmes remarquables qu’il nous invite à découvrir dans ce recueil.
Les Sanaryennes: Poèmes et fragments de vie
10,00€Une poésie exprimée en une douzaine de recueils marquée par ses premières sensations du monde méditerranéen, les berceuses de sa grand-mère et les chansons de sa mère. Une poésie enrichie par ses voyages et son engagement social et sociétal (syndicalisme, presse sociale et de loisirs, etc.). Mer, vent, soleil, jeux de l’été, nostalgie de l’arrière-saison sur la plage et les collines sont les couleurs et les parfums par lesquels il créé et dialogue, sens toujours à l’affût. Une poésie tantôt libre, tantôt rimée, structures originales et classiques, thèmes intimes, sujets picturaux et éclats du quotidien. Une poésie qui ne s’interdit pas de chanter, par un érotisme stylé, la brûlante sensualité des liaisons amoureuses. Nous avons là un poète du temps présent, un « poète civil » selon l’expression de Moravia sur Pasolini, un poète militant la Lyre à la main. « Les Sanaryennes » est l’un des premiers recueils de poèmes de Roger-Pol COTTEREAU. Paru en 1960 aux éditions de « la Revue Moderne», l’édition originale ne comportait que huit poèmes, de même facture, annonçant déjà une maÎtrise du rythme et de la mélodie des vers. Promesse tenue puisque Roger-Pol COTTEREAU nous offre une troisième édition revue et complétée de ses Sanaryennes. Un fruit de saison mûri à la lumière des sens et de l’eau vive des sentiments.
Petits minous, gros toutous
15,00€Prix Jacques Prévert 2018
De par ses origines familiales, Roger-Pol se définit comme celto-ligure et éclectique dans le choix des thèmes et composition de ses poèmes. Une poésie tantôt libre, tantôt rimée, toujours musicale. Il nous livre ici un florilège de petits poèmes tendres écrits initialement pour sa fille Morgane enfant laquelle, maintenant adulte, en accepte la publication. Offrez ces éclats de bonheur, illustrés avec complicité par Dorothée Clauzel, à un jeune enfant, lisez les à un de ces tout-petits que le trou noir d’avant-dodo inquiète. Grands et adultes n’en sont pas exclus..