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Journal : 1823-1850
15,00€Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. « Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité. » Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la « limitation des genres ». Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.
Le médium guérisseur : Comprendre et pratiquer les soins énergétiques
10,00€Magnétisme curatif ou guérison spirituelle, il existe autant de croyances et de façons de pratiquer qu’il y a de praticiens. Peu importe la procédure ou les gestes, toutes les approches véhiculent la même idée, la même énergie et le même Amour. Cet Amour du bien qui n’a de cesse de se démontrer de lui-même et gagne, petit à petit, sur l’incrédulité générale. Ce qui ne fait que le bien ne peut être l’œuvre du mauvais…
Toutes rejoignent les croyances établies depuis fort longtemps comme le montre, par exemple, un papyrus égyptien datant d’Aménophis 1 (16ème siècle avant Jésus-Christ) sur lequel est inscrite cette phrase caractéristique : « Pose la main sur la douleur et dis que la douleur s’en aille ». Ce geste familier, instinctif, car nous portons automatiquement la main à l’endroit où se fait ressentir une douleur, a perdu aujourd’hui de sa simplicité et de son essence. C’est pourtant ainsi que mon premier soin s’est déroulé, soudainement, sans préconnaissance aucune, en posant ma main et souhaitant par Amour que la douleur s’en aille…
S’ouvrit pour moi ce jour-là, un long chemin de recherche, d’étude et de travail personnel. C’est ainsi que je suis devenu ce que je suis, un guérisseur des âmes et du corps, vous invitant ici à découvrir ces merveilles.
Journal : 1855-1863
15,00€Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. « Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité. » Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la « limitation des genres ». Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.