Madame Betty, c’est un florilège de chroniques parisiennes, cueillies au jour le jour depuis la loge d’une concierge dans un immeuble Haussmannien. Madame Betty, c’est un personnage haut en couleurs, étonnant et drôle, le quotidien d’un métier que l’on ne trouve que dans les vieux quartiers de la capitale et qui nous transporte dans le Paris populaire d’aujourd’hui. L’impasse est une nouvelle qui éclaire le passé des protagonistes de Madame Betty et explore le mystère du phénomène que l’on appelle le déjà-vu.
"Née en 1971 à La Seyne-sur-mer, Béatrice Pardossi-Sarno est musicienne depuis son plus jeune âge. Pianiste, hautboïste, claveciniste, elle poursuit cependant ses études dans le domaine de la philosophie où elle obtient un doctorat en esthétique. Elle entre alors au Musée du Centre Pompidou où elle côtoie les manuscrits d’artistes et prépare des expositions au sein du service architecture. Pour autant, la musique ne la quitte pas : depuis 2011, elle accompagne son frère Alex Pardossi sur ses albums. Elle chante à ses côtés sur des scènes intimistes, met en scène des « concerts littéraires », et apporte sa touche féminine au groupe de rock musclé des Infréquentables. Elle signe en 2017 un recueil de chroniques parisiennes intitulé Madame Betty à partir duquel elle réalise avec Marie Michaux une série de dessins animés sous le label « Tout avec presque rien ». D’autres ouvrages suivent, habillés par le même label : nouvelles, essais, jeux littéraires qu’elle illustre parfois et qu’elle publie régulièrement."
Les INfréquentables viennent de sortir un album de 6 titres intitulé Enfermés dehors. Pour l’illustrer, Les Infréquentables ont réalisé un livret éponyme, comportant les paroles des chansons et présentant leur univers visuel.
La vive est un poisson de méditerranée. Cachée sous le sable, la vive pique de son épine dorsale quiconque la piétine. Douleur violente, instantanée. Une douleur dont on se souvient ! La vive, on la connaît… Et si la mémoire était son épithète ? Mémoire vive est un recueil d’histoires, un regard amusé ou curieux sur le mystère de la mémoire.
La Mère Noël préparait comme chaque année le retour de ce jour tant attendu des enfants, le 24 décembre. Et comme chaque année, elle enrageait de voir que dans tous les pays on l’imaginait sous les traits d’un vieil homme à la barbe blanche. Comment pouvaient-ils donc tous ignorer que son père lui avait, il y a bien longtemps déjà, légué cette lourde charge de rendre heureux les enfants du monde entier au moins une fois dans l’année ?
Comme chaque jour Igor contemplait sa collection de boîtes russes. Il les prenait précautionneusement et les observait avec une loupe, découvrant souvent un détail qui lui avait échappé la fois précédente, comme si ses boîtes étaient vivantes et lui offraient un spectacle différent pour qu’il ne s’en lasse jamais.
Ce recueil est né de divers concours de nouvelles : dix-huit textes dont la plupart ont été primés ou sélectionnés.
A travers des scènes de vie tour à tour attendrissantes, bucoliques ou intrigantes, Loys et Martine vous emportent dans un entre-deux, entre réel et imaginaire, dans un tourbillon d’humour et d’amour, de passions et de fictions.
Embarquez pour Venise endormie ou pour les îles du Cap Vert…
Découvrez sous un autre jour la Provence, les Pyrénées, ou le Mercantour…
Au fil des pages, vous croiserez des animaux qui parlent, un vieux chien amoureux de son maître, un montagnard fasciné par une louve.
Vous reconnaîtrez peut-être un écrivain célèbre ou une esquisse de Degas…
On se sent bien dans ces histoires ciselées dont le charme s’étire sur trois pages, ou quatre. Pas plus. Et ça suffit : juste des instants de grâce, des moments intenses…
Lulu était une adorable fillette de huit ans mais elle était très distraite à l’école. La raison en était qu’elle ne voyait pas très bien ce que la maîtresse écrivait sur le tableau noir. Aussi s’ennuyait-elle et laissait-elle vagabonder son imagination. Un jour l’institutrice convoqua ses parents pour les mettre en garde et chercher avec eux les raisons de l’attitude de Lulu.
Des robots, derniers espoirs des hommes qui n’ont pas su préserver leur planète. Des extraterrestres farceurs mais aussi anges gardiens des êtres humains. Des mondes parallèles. Un ermite de la forêt de Brocéliande qui entre en contact avec des esprits éclairés passés, présents et futurs pour rendre les hommes meilleurs. Une scientifique qui rêve d’inventer la Machine qui recyclerait tous les déchets. Des hommes et des femmes qui disparaissent mystérieusement un vendredi 13….
Dans ces nouvelles de science-fiction, l’auteur invite ses jeunes lecteurs à réfléchir au devenir de leur planète et à prendre conscience des enjeux écologiques pour construire le monde de demain.
Un lapin à la recherche de l’âme sœur, un chat philosophe, une tortue aventureuse, un dauphin sauvé par un pêcheur, un chien abandonné sur une aire d’autoroute par ses maîtres, un canari épris de liberté…. Toute une galerie de portraits tendres et drôles, tristes aussi parfois, où se mêlent réalité et imaginaire et qui nous invite à la réflexion tout en nous distrayant. Les enfants ont un rôle privilégié dans ces récits où l’auteure montre leur complicité avec les animaux. Quelle doit être la place des animaux dans un monde respectueux de la nature ? Quel regard les animaux portent-ils sur nous ? Saurons- nous sauvegarder la richesse animale de notre planète ? Ces questionnements sous-tendent le propos de l’auteure qui, une fois de plus, incite ses jeunes lecteurs à devenir les acteurs responsables de leur devenir.
Véronique Mas –
Une belle rencontre avec Madame Betty et son univers Parisien. Des personnages attachants et une écriture pleine de poésie… J’ai adoré.