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La Fontaine aux malades

15,00

C’est un roman historique tout à fait immersif au cœur d’un siècle troublé par la maladie et en proie aux bouleversements des religions. Sur les traces de l’Histoire, nous découvrons des personnages bien typés, justes et droits qui promènent un regard singulier sur le monde en quarantaine qui les entoure. La forme du journal du notaire permet une grande précision tout autant qu’une plongée bienvenue pour comprendre les mœurs, les pensées et les traditions de l’époque. Richement documenté, le récit emprunte au genre du document historique et ravira les passionnés et les curieux pour un moment de lecture où Histoire et histoires ne font plus qu’un, où imaginaire et réalité se rejoignent. Comment se comporterai une communauté qui de nos jours, serait acculée, face à un fléau semblable, à une si longue gestion en vase clos ?

En juillet 1631 dans un petit village des Alpes sous la tutelle des princes d’Orange, une épidémie de peste se déclare. Une quarantaine est mise en place. Le notaire du lieu décide de rédiger un mémoire des événements pour cette période d’isolement qui va durer six mois. Avec une majorité protestante, une certaine rigueur permet d’affronter au mieux une série de problèmes qui vont s’additionner : le ravitaillement, la perte du moulin, le décès de responsables, l’arrivée tardive de médicaments, l’accumulation des dettes, les défections, le chauffage, la distribution d’eau. Par souci d’une chronique éclectique, le notaire fait la part belle aux faits divers et aux préparations culinaires et médicinales locales…. Fin janvier 1632, à la levée de la quarantaine, il ne reste que 460 des 600 habitants. Que vont-ils devenirs face à la misère de beaucoup ?

Leur sens profond de la vie en communauté va faciliter la lente reprise du cours normal de la vie. Cependant, des années durant, il va falloir honorer les dettes contractées pendant cette période. »

Grosse équipe

15,00

À la fin des années 90, le sud de la France est le théâtre de plus de 70 vols par effraction de coffres forts, de supermarchés, de magasins divers, la plupart réalisés au tractopelle et d’environ 400 vols dans et de véhicules.

Les investigations ont été menées par une cellule d’enquête de la Gendarmerie Nationale, basée à Narbonne, que nous appellerons ici KOFIO 11.

Ce polar est tiré d’une histoire vraie. Les noms des personnages ont tous été modifiés, d’autres ont été inventés et les faits quelques peu romancés, bien que !!! … Fidèle au monde des faits divers, ce roman traite du quotidien des petites mains, propres ou sales, trop souvent oubliées.

A travers ce livre, l’auteur a souhaité que le public découvre le travail extraordinaire fait par des gens que la très haute hiérarchie policière croit ordinaires.

Une sorte de pied de nez aux idées reçues. Souvent le héros est cherché où il n’est pas ! … Dans ce métier, on ne peut être un bon flic et un héros.

Ici, tous ont choisi de n’être que flic !

Bel amant

15,00

Au décès du comte de Grare, ses enfants Louis-Marie et Blanche se retrouvent héritiers du château ancestral du Pré mais également d’un monceau de dettes.

À Paris, la puissante famille de Brunswick donne le ton. Anne de Brunswick, surnommée la baronne, dirige les deux banques héritées de feu son époux d’une main de fer tandis que Stanislas, son fils, se prend d’amitié pour un certain Monsieur Gustave Eiffel à la recherche d’un financement pour sa tour, attraction phare de la prochaine exposition universelle de 1889.

La riche baronne est aussi mécène et c’est lors de l’une de ses soirées à son hôtel particulier parisien qu’elle invite un peintre alors dans la misère : Auguste Renoir. Elle lui propose un contrat : peindre un nu masculin dont le modèle aura la beauté d’Antinoüs, l’innocence de Ganymède et la perfection de Narcisse.

Auguste Renoir rentre à son atelier de Montmartre avec le sentiment d’avoir été lésé : ce modèle n’existe pas. C’est alors que son chemin croise celui de Louis-Marie. La parfaite beauté du jeune homme trouble le peintre qui lui propose de poser nu pour lui. Il ignore tout de lui mais l’invite chez lui. Entre les deux hommes va naître une grande amitié et une inoubliable complicité.

À l’ombre de la Dame de Fer qui s’élève jour après jour dans le ciel de Paris, des destins vont se croiser, des secrets vont se dévoiler et certains apparaîtront alors sous leur véritable jour.

L’Or et le Fer

15,00

— Ferronnier ! Ouvre ta maudite grille !Dorian de Grare ne se doutait pas de l’importance de ses paroles lorsque, le 1er thermidor de l’an II, il quitte son château du Pré pour Paris dans le but de sauver son cousin Enguerrand de l’échafaud.Nous sommes en 1794, au cœur de la Révolution française. La Terreur est à son apogée et, après l’exécution de Danton, Robespierre règne en maître sur le Comité de Salut Public.Aël de Kergoët, jeune ferronnier, se voit proposer un travail exceptionnel en cette époque : la conception et la réalisation d’un portail en fer forgé d’une splendeur inégalée qui devra durer éternellement et marquer la puissance et la richesse du propriétaire du château du Pré, « château blanc flottant sur un lac ». Le jeune homme y fera une rencontre qui bouleversera sa vie : Dorian de Grare. Libertin et débauché, Dorian fréquente les maisons closes parisiennes et sa beauté n’a d’égale que sa cruauté. Fils d’un aristocrate décédé avant la Révolution, Dorian n’a jamais accepté le remariage de sa mère avec le républicain Jean Beaujouan, à qui il doit cependant d’avoir pu conserver ses terres et son château. Un jour cependant, son chemin croise celui d’Alwena, jeune fille pauvre qui fuit la misère de sa Bretagne natale et la guerre entre chouans et armée Républicaine.Jour après jour, tandis que la splendide grille s’élève dans des conditions tragiques et inexplicables, à une époque troublée, Aël et Dorian, aux origines pourtant si discordantes, parviendront à construire une amitié indestructible comme l’Or et le Fer.

Le défi de Victor

10,00

Victor a 10 ans. C’est un enfant fragile, sensible, mal dans sa peau, qui subit le harcèlement scolaire depuis son entrée à l’école. Sa souffrance morale est telle que son corps crie à l’aide chaque matin lorsqu’il doit se lever : maux de ventre, nausées, tremblements, angoisses, idées noires…. Comment expliquer à sa mère l’incompréhensible ? Comment dire l’indicible ? Comment continuer à avancer et se construire ?L’arrivée de Bao, une nouvelle élève venue tout droit de Chine, va bouleverser sa vie. Parviendra-t-elle à lui redonner confiance, à l’aider à faire face aux harceleurs ?

Éléonore, duchesse d’Artois

10,00

« Éléonore, duchesse d’Artois » est le second tome d’une trilogie qui nous entraîne à la Cour de Bourgogne au XVème siècle et nous invite à revisiter cette fin du Moyen Age où se côtoient enlumineurs, chevaliers et gentes dames.
Une semaine après leur mariage, Eléonore et Arnaud prirent le chemin de l’Artois où ils allaient vivre désormais. Eléonore n’avait pas quitté sans tristesse le palais ducal où elle laissait des êtres chers, en particulier Madame de Créquy qui la considérait comme sa confidente et son amie. Mais elle allait devoir apprendre son nouveau métier de châtelaine et seconder son époux.
Destins croisés de deux couples : Mathieu et Marie, Eléonore et Arnaud. Amitiés indéfectibles et amour, passion des belles choses, tournois et sièges, rivalités entre chevaliers… Deux univers s’entremêlent pour le plus grand plaisir du lecteur entraîné dans les aventures trépidantes de héros attachants et hauts en couleur.

Mathieu l’enlumineur

10,00

« Mathieu l’enlumineur » est le premier tome d’une trilogie qui nous entraîne à la Cour de Bourgogne au XVème siècle et nous invite à revisiter cette fin du Moyen Age où se côtoient enlumineurs, chevaliers et gentes dames. Oyez, bonnes gens, l’histoire de Mathieu, jeune apprenti enlumineur. En même temps qu’il s’initie à l’art de l’enluminure avec deux célèbres maîtres, Jean Tavernier et Jean Fouquet, il découvre les intrigues de la cour bourguignonne. Destins croisés de deux couples : Mathieu et Marie, Eléonore et Arnaud. Amitiés indéfectibles et amour, passion des belles choses, tournois et sièges, rivalités entre chevaliers… Deux univers s’entremêlent pour le plus grand plaisir du lecteur entraîné dans les aventures trépidantes de héros attachants et hauts en couleur.

Pierre Courage: Bâtisseur de cathédrale

10,00

Pierre arriva sur son nouveau chantier par un beau jour de juin 1220. Compagnon tailleur de pierres de son état, il se présenta auprès du maître artisan, Paul Roussette, qui l’avait engagé pour travailler à la construction de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, commencée en 1163. Au cours de son tour de France, Pierre avait acquis de l’expérience, il n’en était pas à sa première cathédrale. Cependant il était ému et fier de se trouver à Paris.

Le Horla

7,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Sixième et Quatrième

Le Horla raconte la lente désagrégation d’un esprit, de la dépression à la folie – des maux que connaissait bien Maupassant. Le héros se sent peu à peu envahi par un autre, qui agit à travers lui : le Horla, puissance invisible, inconsciente, qui le manipule. S’installent alors l’incompréhension, la peur, l’angoisse. Jusqu’à l’irréparable. Prenant la forme du journal intime, la nouvelle illustre ce que Freud nommera l’inquiétante étrangeté, cette intrusion progressive du malaise dans le quotidien. Modèle de nouvelle fantastique, Le Horla est aussi une description clinique du dédoublement de personnalité qui menace toute conscience.

Le dernier jour d’un condamné

8,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Seconde

Dans un cachot, un homme s’apprête à mourir. Pour tromper son intolérable attente, le condamné écrit son vain espoir de la grâce, son dernier voyage en fourgon, sa peur d’affronter la foule, mais aussi ses souvenirs de promenades autour de Paris et le sourire de sa petite fille Marie. Bientôt, le condamné sans nom et sans visage se révèle un être de chair et de sang, si proche, en somme, de chacun de nous…

Alice au pays des merveilles

6,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de CM1, CM2, Sixième et Cinquième

Cette édition des aventures d’Alice au pays des merveilles a conservé la traduction d’origine et est illustrée des dessins originaux de John Tenniel.

Assise dans l’herbe un jour d’été, Alice voit passer un lapin blanc qu’elle suit dans son terrier. Elle bascule alors dans un monde extraordinaire et magique. Au cours de cet étrange voyage, elle rencontre des personnages incongrus : des homards qui dansent, un chat qui apparaît pour s’évanouir, une chenille qui fume, ou encore une Reine de Cœur qui veut couper la tête de tout le monde.

Le robot de Gaspar

10,00

Gaspard avait la détestable manie de démonter et de bricoler tout ce qui lui passait entre les mains, ce qui faisait invariablement pousser les hauts cris à sa mère et s’extasier son père. Ce travers provoquait régulièrement des querelles conjugales chez les Lacoste. Comment aurait-il pu en être autrement ? Madame Lacoste était une maniaque du ménage et du rangement. Monsieur Lacoste, lui, était le type même du bricoleur du dimanche qui met de la poussière partout et laisse traîner ses outils dans tous les coins de la maison.

La tribu part en vacances

10,00

Il fallut plusieurs jours à la tribu Ducresson-Dujardin pour accepter l’idée de partir en vacances en famille… Certains étaient réticents ; les idées fusèrent, dont les plus farfelues, pour organiser le voyage avec deux adultes, huit enfants, un bébé et un chien ! Comment allaient-ils cohabiter ? Où aller ? Pourvu que le séjour ne ressemble pas à une colonie de vacances ! Chacun souhaitait peu de contraintes et beaucoup d’imprévu ! Enfin la décision fut prise : on partirait bien tous ensemble. Pourquoi pas à Sanary qui rappellerait à Fabrice ses souvenirs d’enfant et d’adolescent ?

La tribu s’agrandit

10,00

« La tribu s’agrandit » est la suite de « Quelle galère ! ». On y retrouve Iris, Rose, Marguerite et Myosotis Ducresson ainsi que Dimitri, Hervé, Sylvain et Emeric Dujardin. Quatre filles et quatre garçons embarqués malgré eux dans la galère de la famille recomposée qui pourtant n’a pas que de mauvais côtés. Petits tracas de la vie quotidienne, chamailleries, compromis, moments de joie partagés, complicité, intimités de vies d’enfants et d’ados, premiers émois amoureux, complexités des relations recomposées, difficultés et hésitations des nouveaux parents face à cette « tribu » turbulente et sensible … Ils nous entraînent de découvertes en découvertes, de rebondissements en rebondissements. Humour, tendresse et émotion sont au rendez-vous.

Quelle galère !

10,00

Comme chaque lundi, Aglaé s’activait dans son jardin, coupant les roses fanées, bêchant les arbustes, aérant la terre, arrachant les mauvaises herbes, taillant les haies, et j’en passe, tandis que sa plus jeune fille, Myosotis, âgée de six ans, collée à ses basques, cherchait maladroitement à l’imiter. – Attention, Mimi, tu es en train d’arracher un pétunia ! – Désolée, maman, je ne l’avais pas reconnu ! s’empressa de dire Myosotis. – Ce n’est pas grave, ma chérie. Je vais le remettre en terre. Aglaé s’acharnait à faire partager à ses quatre filles sa passion pour les végétaux mais elle n’avait guère de succès. Elle leur avait pourtant donné à toutes des noms de fleurs, comme pour les conditionner… L’aînée se prénommait Iris, la seconde Rose, la troisième Marguerite et la quatrième Myosotis. Il est vrai qu’Aglaé vivait au milieu de fleurs depuis son enfance !

Les enquêtes de Théo

10,00

Inclus, une interview exclusive de l’auteur !

Agé de quinze ans, Théodule, qu’on appelait le plus souvent Théo, rêvait de devenir un grand enquêteur. Il passait tout son temps libre à lire des romans policiers et il était incollable sur le sujet. Tous ses camarades connaissaient sa passion pour les énigmes et se moquaient gentiment de lui dès qu’ils en avaient l’occasion.

Le portrait d’Isabeau

10,00

Le portrait d’Isabeau est la suite de “Sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle”. Nous conseillons de lire d’abord “L’étrange destin de Jehan, jongleur à Notre Dame”. Paul et Isabeau vivaient depuis cinq ans au château de Roquebrune une vie paisible. Trop paisible au gré de Paul…

Sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle

10,00

Sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle est la suite de L’étrange destin de Jehan. Paul vivait depuis quatre ans à l’abbaye d’Hautecombes auprès de son cousin, le frère Albéric. Il lui avait fallu beaucoup de temps pour soigner les blessures morales et physiques que lui avait infligées son oncle, le comte de Rogues, après le décès de ses parents. Son jumeau, Jehan, qu’il croyait mort-né, l’avait délivré des mains de son geôlier et il s’était réfugié à l’abbaye d’Hautecombes pour tenter de retrouver la paix de l’âme.

Le secret de l’aïeul

10,00

Martin était un enfant curieux. Il fouinait partout à longueur de journée, friand de découvertes en tous genres. Son grand plaisir était de monter au grenier dans la maison de son arrière-grand-père. Des malles pleines d’objets hétéroclites, de vieux journaux, de livres, de vêtements s’entassaient dans tous les coins et recoins. C’était une manne inespérée pour le jeune garçon. Par une journée pluvieuse d’octobre, sa mère le confia à la garde de l’aïeul presque centenaire.

Pierre Arnaud: L’apprentissage d’un chevalier

10,00

« Pierre Arnaud : L’apprentissage d’un chevalier » est le troisième tome d’une trilogie qui nous entraîne à la Cour de Bourgogne au XVème siècle et nous invite à revisiter cette fin du Moyen Age où se côtoient enlumineurs, chevaliers et gentes dames.
Eléonore venait de quitter la Cour de Bourgogne pour regagner ses terres d’Artois, laissant son fils unique, Pierre-Arnaud, sous la responsabilité de Jacques de Lalaing qui devait faire de lui un chevalier. Elle avait l’impression d’être dépossédée de ce qui lui était le plus cher, elle avait la tête vide. Sur la route une seule image la hantait, celle de son voyage de retour, neuf ans plus tôt, alors qu’elle ramenait le corps de son mari, Arnaud, en Artois pour y être inhumé auprès de ses ancêtres. Aujourd’hui elle se retrouvait seule pour la deuxième fois et elle allait devoir apprendre à vivre sans son fils.

Le fantôme du manoir de Lockmor

10,00

John et ses parents arrivèrent au manoir de Lockmor un jour d’orage. Des éclairs zébraient le ciel noir bien qu’il ne soit que deux heures de l’après-midi. Le tonnerre grondait et John, du haut de ses dix ans, n’était pas très rassuré. Ils allaient rendre visite à une vieille tante qui les avait fait appeler car elle sentait sa dernière heure arriver. Ils ne la connaissaient guère car une brouille familiale l’avait longtemps maintenue dans l’isolement. On ne savait d’ailleurs plus très bien quelles en étaient les raisons et les parents de John avaient eu pitié de la pauvre tante oubliée. A moins qu’ils ne se soient souvenus soudain qu’ils étaient ses seuls héritiers !

La fugue

10,00

Le jour allait bientôt se lever sur le petit village. Tout était calme et encore endormi. Pourtant un grondement lourd de menaces éclata soudain, réveillant les habitants. Des grêlons énormes s’abattirent en quelques instants sur les maisons et les champs environnants. Heureusement les volets fermés protégeaient les vitres. Mais quelques imprudents les ouvrirent malencontreusement et les fenêtres cédèrent sous les coups de boutoir de la grêle. Des cris de frayeur fusèrent des quatre coins du village en émoi. Marc se réveilla en sursaut et se mit à hurler, appelant sa mère. Marc n’avait que six ans . Son frère Pierre, de quatre ans son aîné, accourut pour le rassurer. Il était devenu très protecteur depuis la mort de son père, l’année précédente.- Ce n’est rien, Marc, juste un peu d’orage. N’aie pas peur.