• 0 Articles - 0,00
    • Votre panier est vide.

La fiancée du robot

10,00

La fiancée du robot est la suite du Robot de Gaspar. Hector était un petit robot bien triste depuis que son créateur, Gaspar, avait disparu. Il n’était plus utile à personne et s’ennuyait ferme. Son maître n’avait jamais accédé à sa demande de lui fabriquer une fiancée. Pourtant il l’en avait supplié pendant des mois et des années puis avait fini par renoncer.

Le secret de l’aïeul

10,00

Martin était un enfant curieux. Il fouinait partout à longueur de journée, friand de découvertes en tous genres. Son grand plaisir était de monter au grenier dans la maison de son arrière-grand-père. Des malles pleines d’objets hétéroclites, de vieux journaux, de livres, de vêtements s’entassaient dans tous les coins et recoins. C’était une manne inespérée pour le jeune garçon. Par une journée pluvieuse d’octobre, sa mère le confia à la garde de l’aïeul presque centenaire.

Pierre Arnaud: L’apprentissage d’un chevalier

10,00

« Pierre Arnaud : L’apprentissage d’un chevalier » est le troisième tome d’une trilogie qui nous entraîne à la Cour de Bourgogne au XVème siècle et nous invite à revisiter cette fin du Moyen Age où se côtoient enlumineurs, chevaliers et gentes dames.
Eléonore venait de quitter la Cour de Bourgogne pour regagner ses terres d’Artois, laissant son fils unique, Pierre-Arnaud, sous la responsabilité de Jacques de Lalaing qui devait faire de lui un chevalier. Elle avait l’impression d’être dépossédée de ce qui lui était le plus cher, elle avait la tête vide. Sur la route une seule image la hantait, celle de son voyage de retour, neuf ans plus tôt, alors qu’elle ramenait le corps de son mari, Arnaud, en Artois pour y être inhumé auprès de ses ancêtres. Aujourd’hui elle se retrouvait seule pour la deuxième fois et elle allait devoir apprendre à vivre sans son fils.

Le fantôme du manoir de Lockmor

10,00

John et ses parents arrivèrent au manoir de Lockmor un jour d’orage. Des éclairs zébraient le ciel noir bien qu’il ne soit que deux heures de l’après-midi. Le tonnerre grondait et John, du haut de ses dix ans, n’était pas très rassuré. Ils allaient rendre visite à une vieille tante qui les avait fait appeler car elle sentait sa dernière heure arriver. Ils ne la connaissaient guère car une brouille familiale l’avait longtemps maintenue dans l’isolement. On ne savait d’ailleurs plus très bien quelles en étaient les raisons et les parents de John avaient eu pitié de la pauvre tante oubliée. A moins qu’ils ne se soient souvenus soudain qu’ils étaient ses seuls héritiers !

La fugue

10,00

Le jour allait bientôt se lever sur le petit village. Tout était calme et encore endormi. Pourtant un grondement lourd de menaces éclata soudain, réveillant les habitants. Des grêlons énormes s’abattirent en quelques instants sur les maisons et les champs environnants. Heureusement les volets fermés protégeaient les vitres. Mais quelques imprudents les ouvrirent malencontreusement et les fenêtres cédèrent sous les coups de boutoir de la grêle. Des cris de frayeur fusèrent des quatre coins du village en émoi. Marc se réveilla en sursaut et se mit à hurler, appelant sa mère. Marc n’avait que six ans . Son frère Pierre, de quatre ans son aîné, accourut pour le rassurer. Il était devenu très protecteur depuis la mort de son père, l’année précédente.- Ce n’est rien, Marc, juste un peu d’orage. N’aie pas peur.