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Le Horla

7,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Sixième et Quatrième

Le Horla raconte la lente désagrégation d’un esprit, de la dépression à la folie – des maux que connaissait bien Maupassant. Le héros se sent peu à peu envahi par un autre, qui agit à travers lui : le Horla, puissance invisible, inconsciente, qui le manipule. S’installent alors l’incompréhension, la peur, l’angoisse. Jusqu’à l’irréparable. Prenant la forme du journal intime, la nouvelle illustre ce que Freud nommera l’inquiétante étrangeté, cette intrusion progressive du malaise dans le quotidien. Modèle de nouvelle fantastique, Le Horla est aussi une description clinique du dédoublement de personnalité qui menace toute conscience.

L’homme qui plantait des arbres

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de CM1 et CM2

Été 1913. Le narrateur, un jeune homme de vingt ans entreprend une longue marche « dans cette très vieille région des Alpes qui pénètre en Provence ». Petit point dans l’immensité, il parcourt la montagne désolée où juste quelques lavandes disséminées osent pousser. Les villages qu’il trouve sur son chemin ont été abandonnés, faute d’eau. Seul le vent souffle à ses oreilles. La vie semble avoir quitté cet endroit. Après plusieurs jours de déambulation, il rencontre un berger qui lui offre l’hospitalité. L’homme s’appelle Elzéard Bouffier. Jadis, il eut une femme, un fils et une ferme. Suite à leur perte, il s’est retiré ici dans une petite maison en pierres, chaleureuse et confortable, avec ses brebis et son chien.

Devant le narrateur, l’homme se met à trier des glands… et le lendemain, il le voit les planter dans la terre avec une longue tringle de fer. Bouffier lui confie alors qu’ « il avait jugé que ce pays mourait par manque d’arbres. Il ajouta que, n’ayant pas d’occupations très importantes, il avait résolu de remédier à cet état de choses. » Depuis trois ans, il avait planté près de cent mille arbres.

Le jeune homme n’oubliera jamais cet homme qui plantait des arbres. La guerre de 14-18 fait rage, et tue beaucoup. Soldat pendant cinq ans, les yeux emplis d’atrocité, il retourne en Provence, sur ce lieu qui l’apaise tant. Elzéard est encore là. S’il s’occupe maintenant de ruches, il poursuit toujours son rituel de reforestation d’un pas lent, avec patience et persévérance. Le paysage s’est modifié, de jeunes arbres poussent désormais, l’eau recommence à couler…

La dernière fois que les deux hommes se virent, le plus vieux allait sur ses quatre-vingt-dix-sept ans. Une forêt avait remplacé le désert de 1913, on avait construit des maisons entourées de jardins, on pouvait voir au loin des fermes et des champs d’orge, et on entendait ruisseler l’eau…

Cette fable est une ode à la nature, à la générosité et à la vie. Par la seule volonté d’un homme, par son geste, par sa main, une forêt est née. Cet homme qui s’était retiré de la civilisation, dans une profonde solitude, ignorant les guerres, avait su ramener la vie là où elle avait disparu.

Le dernier jour d’un condamné

8,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Seconde

Dans un cachot, un homme s’apprête à mourir. Pour tromper son intolérable attente, le condamné écrit son vain espoir de la grâce, son dernier voyage en fourgon, sa peur d’affronter la foule, mais aussi ses souvenirs de promenades autour de Paris et le sourire de sa petite fille Marie. Bientôt, le condamné sans nom et sans visage se révèle un être de chair et de sang, si proche, en somme, de chacun de nous…

Un cœur simple

4,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de Quatrième

L’Histoire d’un cœur simple est tout bonnement le récit d’une vie obscure, celle d’une pauvre fille de campagne, dévote mais mystique, dévouée sans exaltation et tendre comme du pain frais. Elle aime successivement un homme, les enfants de sa maîtresse, un neveu, un vieillard qu’elle soigne, puis son perroquet ; quand le perroquet est mort, elle le fait empailler et, en mourant à son tour, elle confond le perroquet avec le Saint-Esprit. Cela n’est nullement ironique comme vous le supposez, mais au contraire très sérieux et très triste.

Alice au pays des merveilles

6,00

Titre recommandé par le ministère de l’Éducation Nationale en classe de CM1, CM2, Sixième et Cinquième

Cette édition des aventures d’Alice au pays des merveilles a conservé la traduction d’origine et est illustrée des dessins originaux de John Tenniel.

Assise dans l’herbe un jour d’été, Alice voit passer un lapin blanc qu’elle suit dans son terrier. Elle bascule alors dans un monde extraordinaire et magique. Au cours de cet étrange voyage, elle rencontre des personnages incongrus : des homards qui dansent, un chat qui apparaît pour s’évanouir, une chenille qui fume, ou encore une Reine de Cœur qui veut couper la tête de tout le monde.