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Papa tais-toi

10,00

Il vient de mourir. Enfin. Je ne pensais pas qu’il irait jusqu’à cet âge. Durant neuf décennies et demie, il a mangé, bu et fumé sans modération. Toute une vie d‘abus. Il a passé quatre-vingt-seize ans sur cette terre, et l’autre nuit il est parti, étouffé, incapable de respirer une fois de plus.Le monde sans lui n’est plus le même monde. La tonitruance s’est tue.J’ai de la peine en pensant au papa de mon enfance.Ces deux derniers mois, j’ai attendu sa fin comme une promesse de libération. Ce n’est pas le cas. Sa disparition ne change rien en moi. Je reste la même ou presque, sans doute un peu plus légère, plus sereine, comme si sa mort le punissait et que cette punition me rendait justice.Il est resté sept ans en maison de retraite avant de s’éteindre. Je ne suis pas allée le voir une seule fois. Je n’irai pas à ses obsèques. Chacun en pensera ce qu’il voudra, moi seule ai vécu ma vie.

De la Douleur à l’Eveil de la Spiritualité, un cheminement difficile: Une maman témoigne

19,50

Ce recueil est le véritable témoignage d’une maman qui a éprouvé la pire des douleurs qui soit : la perte de sa fille Nathalie le 18 février 2012, et du long cheminement plein d’embûches qui l’a amenée petit à petit vers l’éveil à la spiritualité… Grâce à un témoignage de communication avec la défunte, il présente : Une grande richesse en signes matériels avec actions sur la lumière, sur les appareils électriques et sur la matière (gravure sur la toile d’un tableau et sur un mur.) Des communications en TCI. Le récit de la vision de sa fille par sa maman éveillée, en plus de rêves très signifiants. Des messages transmis par différents médiums aux perceptions très différentes (parfois clairvoyance et clairaudience, mais aussi écriture intuitive en relation avec les Guides des défunts) qui sont toujours probants, qui font concorder les événements et corroborent des faits qui ne sont pas censés être connus d’un monde à l’autre… Un enseignement spirituel notable pour la maman de Nathalie et toute sa famille. Ce livre, qui n’est pas seulement un livre de Messages et de Signes, ne se veut pas triste, même s’il part de la plus grande souffrance au monde. Il se veut au contraire plein d’espoir puisqu’il parle de la Vie après la mort et de la présence permanente auprès de nous de nos « aimés disparus ». Mon souhait le plus cher est que ce témoignage crée un effet d’entraînement permettant aux personnes qui le souhaitent de s’insérer dans ce sillon et de trouver eux aussi dans leur cœur la flamme de l’espoir dans la Vie après la mort physique : si j’ai changé, moi, la maman de Nathalie, pourquoi, après une période de désespérance, ne seraient-elles pas capables de changer elles aussi ?

Au secours de l’emploi : 35 ans au service de l’ANPE

15,00

Le livre s’ouvre sur l’entretien que l’auteur aeu avec un conseiller de l’ANPE en 1976, alors qu’elle était au chômage : « Je n’ai rien pour vous, aucun travail, vous ne trouverez rien ici. » Trente cinq ans après, Francine Chenet est toujours à l’ANPE, mais de l’autre côté de la barrière, en tant que directrice d’agence. Pendant toutes ces années, elle a été confrontée aux critiques envers cet établissement : Sa lourdeur administrative, le peu de soutien aux demandeurs d’emploi, le manque d’écoute aux besoins des entreprises, les doutes sur la fiabilité des statistiques etc. Elle a voulu, tout au long de ces pages répondre à ces critiques, parfois justifiées, toujours exagérées, souvent erronées. Elle retrace tout son parcours, depuis son embauche en tant que prospecteur- placier jusqu’à aujourd’hui, d’agence en agence, au fil des différents postes qui lui ont été confiés. Plus qu’un livre technique, c’est le regard intérieur porté sur l’ANPE, devenu aujourd’hui Pôle-Emploi, ses équipes, ses missions, ses organisations successives selon la politique de l’emploi du moment. Elle a fait une large place au métier de conseil, principale fonction de l’ANPE envers les demandeurs d’emploi. Le livre est riche d’anecdotes, amusantes ou émouvantes, reflets de la dimension humaine qui constitue, au-delà de la froideur des chiffres, le quotidien des 50 000 agents de l’établissement. Il parle aussi et surtout aux demandeurs d’emploi, en leur expliquant comment utiliser au mieux les services qui leur sont offerts, pour mener à bien leur projet de reclassement.

Traité élémentaire de la peinture

15,00

Nouvelle édition, revue, corrigée et augmentée de la vie de l’auteur et de 58 figures d’après les dessins originaux de Le Poussin

Léonard de Vinci a toujours été regardé comme le plus savant dans toutes les parties de la Peinture; c’étoit le sentiment du célèbre Poussin, qui avoit si fort étudié les principes et les règles de son art, et il a souvent avoué à ses amis qu’il avoit tiré des ouvrages de Léonard les connoissances qu’il avoit acquises. Après cela, ne doit-on pas être surpris que le Traité de Léonard de Vinci sur la Peinture n’ait paru pour la première fois qu’en 1651 ? Les Italiens, qui sont si jaloux de la gloire de leur nation, l’avoient entre les mains, et il seroit encore enseveli dans la poussière de quelque cabinet, si les François ne l’avoient fait imprimer; il le fut en 1651, en italien et en françois. M. Du Frêne joignit à l’édition italienne qu’il en fit, la Vie de Léonard qu’il avoit composée en italien: celle que je donne en françois n’en est, pour ainsi dire, que la traduction: j’y ai seulement ajouté ce qui se trouve sur Léonard dans Vasari, dans Félibien, et dans ceux qui ont écrit sur la Vie et les Ouvrages des Peintres. J’ai tiré beaucoup de choses d’un manuscrit qui m’a été prêté par un curieux: ce sont des Mémoires en italien pour servir à l’histoire de Léonard de Vinci. L’auteur de ces Mémoires est le père Mazzenta, barnabite Milanois, qui a eu entre les mains les papiers de Léonard, c’est-à-dire, les Traités qu’il a composés, et les dessins qu’il a faits.

Journal : 1823-1850

15,00

Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. “Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité.” Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la “limitation des genres”. Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.

Richard Stallman et la révolution du logiciel libre: Une biographie autorisée

10,00

Né en 1953, Richard Stallman est un programmeur américain hors pair considéré comme le « père » du logiciel libre.Son héritage est unanimement reconnu et son influence toujours plus grande sur nos sociétés actuelles de l’information et de la communication. Ses conférences en français débutent invariablement ainsi : « Je puis résumer le logiciel libre en trois mots : liberté, égalité, fraternité… ».Cette biographie éclaire sans complaisance la vie de ce personnage autant décrié qu’encensé qui a révolutionné l’histoire du logiciel en particulier en initiant le projet GNU. À travers cet ouvrage, nous pouvons mieux connaître le parcours et les combats de cet homme hors du commun.

Journal : 1855-1863

15,00

Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. “Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité.” Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la “limitation des genres”. Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.

Journal : 1850-1854

15,00

Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d’écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd’hui avec une fidélité absolue aux textes originels. Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou. “Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l’écriture de son illustre ami. D’autant que le bruit s’était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu’il était déjà alité.” Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d’ordinaire exclusivement artistes, c’est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d’écrire, un Fromentin par exemple fait figure d’un écrivain doublé d’un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu’il peigne ou qu’il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s’est d’ailleurs toujours élevé contre ce qu’il appelait la “limitation des genres”. Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d’abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal.

Je suis Mystique: Rêve ou Réalité ?

30,00

J’ai toujours été, depuis mon plus jeune âge, enclin à la solitude. Les autres m’intimidaient à tel point que je les évitais prudemment. Cette solitude devînt mon refuge qui me conduisit vers une vie intérieure très riche. Je vécus, alors, de nombreuses expériences qui m’ouvrirent un monde, de prime abord, effrayant, que, petit à petit, j’apprivoisais, pour mon plus grand bonheur. Je fus amené a confronté les textes de la Bible avec les écrits de Jung, de Freud, la psychanalyse me fascinait. Cette comparaison me semblait indispensable à l’heure où chacun est en quête de sens pour orienter sa vie. Quant à moi, je suis mystique, mais est-ce un rêve ou la réalité ? C’est l’histoire, autobiographique, de cette aventure à laquelle je vous convie, celle qui m’a amenée à vivre une E.M.I. (Expérience de Mort Imminente), élément fondateur de cette existence mystique que je vous livre. Il n’y a, dans ces lignes, rien d’exceptionnel. Celui que je suis, ce que je réalise, vous pouvez l’être, vous pouvez le réaliser, sous conditions d’atteindre certains états d’être, notamment par la méditation, là est, peut-être, la difficulté. C’est pour cela que je veux partager, avec vous, cette vie modeste, jalonnée d’expériences hors du commun. Cette histoire vous est livrée pour que vous puissiez approcher ces mondes parallèles, prendre votre envol, si tel est votre désir, vers la plus grande énigme que vous côtoyez, vous-même. Outre une meilleure compréhension de vous-même, cela vous amènera à une meilleure compréhension des “autres”. Votre bien-être, mon vœu le plus cher, à travers ces quelques lignes.

Mon cri vers le Ciel

19,50

Vous qui allez lire ce livre. Préparez votre cœur à vivre avec cet être les difficultés de sa vie. Et quoi qu’il arrive dans votre propre existence, pensez que la vie a un sens, garder au cœur confiance et foi. La vie de cet être a été dure, elle a tout rencontré, tout vécu l’abandon, le handicape de son enfant, la violence … Parce qu’elle ne savait pas, elle a avancé, en aveugle. Vous qui ouvrez vos cœurs, en lisant, vous penserez certainement que la vie est injuste, difficile, terrible pour beaucoup. Comment un être de 13 ans peut-il en arriver à vouloir cesser de vivre. 13 ans, début de l’adolescence et déjà une telle souffrance qu’on ne peut envisager d’autre issue que la fin. L’auteur n’a écrit cette autobiographie que dans un seul but « aider, aider chacun à ouvrir ses yeux et ses oreilles pour voir et entendre le meilleur … les signes ».